par fanch22 » 08 Sep 2011, 12:49
Des commerces et bureaux à aménager et commercialiser au Stade Jean Bouin
[05/09/2011 - Paris.fr ]
Dans le cadre de la reconstruction du stade Jean Bouin (Paris 16e), la Ville de Paris recherche un ou deux opérateurs pour aménager et commercialiser 7.000 m² de commerces dont 1.200 m² dédiés à de la restauration et 850 m² de bureaux répartis sur deux niveaux.
Les commerces sont principalement situés le long de la rue Claude Farrère, les bureaux rues Nungesser et Coli.
Les activités s’inscriront dans le cadre des orientations de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial (CDAC) qui a autorisé le 7 mai 2009 l’exploitation de surfaces spécialisées dans les secteurs des loisirs, articles de sports et équipements de la maison.
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Date limite de réception des offres : 4 novembre 2011 à 17h à la Direction du Développement Economique, de l’Emploi et de l’Enseignement Supérieur – 8, rue de Cîteaux 75012 Paris
Livraison brut de béton : Début septembre 2012
Environnement et contexte
L’opération de reconstruction du stade Jean Bouin sur une parcelle d’une superficie de 5,5 hectares est située entre les rues Claude Farrère, Nungesser et Coli ainsi que les avenues de la Porte Molitor et du Général Sarrail et à proximité immédiate du Parc des Princes dans le 16ème arrondissement.
Le projet s’inscrit dans un environnement comportant des équipements sportifs structurants à l’échelle métropolitaine (Parc des Princes, Hippodrome de Longchamp, Roland Garros…) qui disposent d’une notoriété nationale voire internationale.
Le site Jean Bouin dédié au tennis est maintenu : 13 courts de tennis restent ouverts pendant les travaux et 4 courts de tennis sont déplacés.
Enfin, à proximité du site, la piscine Molitor fait l’objet d’un programme de réhabilitation avec, adossé à l’équipement sportif, la construction d’un hôtel 4 étoiles de 98 chambres et d’un spa.
Caractéristiques du stade
Afin de doter la Ville de Paris d’un stade adapté au rugby de haute compétition, tout en disposant d’une polyvalence d’usage, le projet en cours prévoit, après démolition partielle des installations sportives existantes, de reconstruire un stade pouvant accueillir 20 000 spectateurs. La fin des travaux du stade est prévue en janvier 2013, et sa mise en service en avril 2013.
Le projet de reconstruction du stade Jean Bouin vise à :
- disposer d’un stade à l’architecture moderne ouverte sur la rue et sur son quartier ;
- créer un nouveau « centre de vie » par l’intégration d’activités extérieures aux manifestations du stade (bureaux, commerces) ;
- réaliser un espace loisirs et ainsi renforcer l’offre en lien avec le stade Jean Bouin, en tenant compte par ailleurs de la rénovation du Parc des Princes et de la future piscine Molitor, qui font l’objet d’opérations distinctes.
Ainsi, le programme prévoit :
- 20 000 places assises et couvertes ;
- des points d’entrée publics réorganisés ;
- une boutique et un restaurant-brasserie gérés par le club résident ;
- un terrain de rugby pour les matchs nationaux et internationaux ;
- 850 m² de bureaux sur deux niveaux ;
- 7 000 m² de commerces (hors brasserie et boutique du club résident) ;
- un parking de 500 places sera créé dont 340 en stationnement horaire rotatif pour répondre aux besoins de la fréquentation des activités économiques.
Le stade Jean Bouin appartient au domaine public de la Ville de Paris. Il est prévu d’exclure du domaine public les espaces dédiés aux commerces et aux bureaux.
Cette opération permettra à la Ville de Paris de consentir des baux commerciaux aux futurs utilisateurs de ces espaces, propriétés du domaine privé de la Ville de Paris.
Les activités dans ces espaces s’inscriront dans le cadre des orientations de la Commission Départementale d'Aménagement Commercial (CDAC) de Paris qui a autorisé le 7 mai 2009 l’exploitation de surfaces spécialisées des secteurs des loisirs, articles de sports et équipements de la maison tout en n’étant pas exclusives d’autres propositions.
Il pourra notamment s’agir d’activités connexes ou annexes du stade ou de nature à assurer la diversité commerciale du quartier.