matmat76 a écrit::blink: faut préparer quoi dans les zones concernées ? Non faut arrêter avec cette version. Aulas peut dire ce qu'il veut. Le gâchis de places il est réel dans votre stade depuis l'année dernière et même quand vous avez une trentaine de visiteurs qui se déplacent à Gerland.
Gunner42 a écrit:C'est pas a l'asse que tu dois t'en prendre mais a la ligue si tu es pas content, qui malgré zéro arrêté préfectoral à décidé d'abaisser le parcage à 600 places...donc nous on a dit 2500 ou rien, saisi le Cnosf pour avoir une réponse qui n'est pas arrivé. Cela dit 3 bus étaient prêts à partir dimanche hein, mais pas d'escorte policière pour les amener, et quand on connait vos débiles de supp qui chargent les crs au ninkasi, qui ont aussi failli lyncher Berreta, finalement on a bien fait de pas venir.
Et venez pas vous plaindre, les places, on les a payé donc bon... après vu l'ambiance de merde malgré votre belle victoire c'est sur il vous fallait des supp en plus ca aurait aidé
Bref on verra au match retour si la ligue fait pareil, si vous avez envie de choisir juste 600 gars ou pas pour venir parmi tout les autres qui auraient pu être la.
OL-ASSE : un stadier grièvement blessé par un engin explosif
Ce dimanche soir, lors du derby OL-ASSE, de nombreux fumigènes ont été craqués en tribunes.
Selon nos informations, un stadier du virage Nord, souhaitant se saisir d'un engin explosif, a été grièvement blessé à la main lors de la détonation de ce dernier. Il a été conduit à l'hôpital pour y recevoir des soins.
La bombe artisanale lui a arraché deux phalanges.
Un fait divers qui n'est pas sans rappeler le cas d'Anthony Roko, jeune sapeur-pompier volontaire, dont la main avait été en partie arrachée par un engin de ce type à l'occasion de la rencontre Nice-OM en 2006.
Stadier, fumigènes, Mapou: l'OL dans le viseur de la commission de discipline
Les incidents dans les tribunes lors de Lyon – Saint-Etienne dimanche soir (3-0) seront étudiés ce jeudi par la commission de discipline de la LFP. Le cas de Mapou Yanga-Mbiwa, qui a donné une claque à Loïc Perrin, sera aussi au centre des débats.
Alors qu'il croyait ramasser un fumigène pendant le derby OL-ASSE (3-0) dimanche soir, un stadier de Gerland a été gravement blessé par un pétard et pourrait ne pas retrouver l'usage de sa main. Ce dossier sera examiné ce jeudi par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel, qui devrait le placer en instruction. D'autant qu'un très grand nombre de fumigènes ont été utilisés avant, pendant et après le match.
D'après le barème des sanctions disciplinaires, l'Olympique Lyonnais risque une amende, un huis clos partiel ou un huis clos total. Mais avant de statuer définitivement dans deux ou trois semaines et devant la gravité des faits, la commission de discipline de la LFP pourrait prendre une mesure conservatoire dès demain. Un huis clos partiel de la tribune Nord - où se sont déroulés les incidents - lors du prochain match de Lyon à domicile (le 27/11 contre Montpellier) n'est donc pas à exclure.
Yanga-Mbiwa dans le viseur
Par ailleurs, la commission de discipline examinera le cas de la gifle donnée pendant le match par le défenseur lyonnais Mapou Yanga-Mbiwa au Stéphanois Loïc Perrin.
En revanche, l'instance ne pourra pas convoquer Jordan Ferri pour son tacle sur Robert Beric, blessé pour six mois, dans la mesure où l'arbitre ne peut plus rédiger de rapport complémentaire sur une action qu'il a déjà jugée pendant le match.
rmcsport.bfmtv.com
LES DÉCISIONS DU 12 NOVEMBRE 2015
Commission de Discipline
Réunie le 12 novembre 2015, la Commission de Discipline de la LFP a pris les décisions suivantes :
13ème journée : Olympique Lyonnais – AS Saint-Etienne du 8 novembre 2015
Comportement des supporters de l’Olympique Lyonnais
Au vu de la gravité des faits, la Commission a décidé :
- de placer le dossier en instruction
- de fermer à titre conservatoire le virage Nord du Stade de Gerland.
La Commission convoque les dirigeants de l’Olympique Lyonnais pour la séance du jeudi 3 décembre 2015 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum, séance au cours de laquelle l'instructeur rendra ses conclusions.
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