Content pour vous les lyonnais!
"Tout vient à point, pou qui sait attendre"
Cydius a écrit:Non il y a eu des travaux entamés auparavant pour un bassin de rétention
Macca7342 a écrit:Myrelingues a écrit:Macca7342 a écrit:Tu as raison mais c'est un nom bien pompeux pour dire la même chose!! Ah Culture quand tu nous tiens
N'importe quoi. A Saint-Etienne, on ne sait pas trop ce que c'est que la culture.
Je reconnais bien l'absence totale d'humour d'un Lyonnais qui se sent offusqué par mes propos qui n'avaient rien à voir avec la rivalité entre les deux clubs. En premier lieu relis donc mon post original et tu verras que je disais en conclusion que j'avais hâte de voir votre nouveau stade pour vivre de beaux derbies. Je disais aussi qu'à l'heure ou des personnes cherchent par tous les moyens à retarder la construction de votre stade personne ne s'intéresse au scandale financier (457 M€ à ce jour non terminé pour 150 M€ prévus à l'origine que nous allons tous payer avec nos impôts) que représente ce futur musée qui n'attirera pas le dixième de ce que votre nouveau stade fera.
Alors arrête de te comporter comme un gamin. je suis Stéphanois certes (et fier de l'être) mais habite Lyon depuis 10 ans et mon post n'était pas dans la provocation.....au contraire du tien (PS: au fait Sainté a un magnifique musée d'art moderne depuis 25 ans mais peut-être ne le savais tu pas)
Merci Dreamsk42 pour ton soutien humoristique
Grand Stade : l'OL Groupe lance les travaux sans avoir purgé les recours
Par Lucie Blanchard
Posté le 22/10/2012 à 12:57 | vu 1037 fois | Réagissez|
Imprimer l'article Suggérer à un ami Agrandir la taille du texte Diminuer la taille du texte
La Foncière du Montout, filiale à 100% d'OL Groupe a annoncé hier, dimanche, qu'elle lançait les travaux du stade des Lumières. En vérité, il ne s'agit que des travaux de terrassement du terrain. Le but étant de contenter l'UEFA qui presse les promoteurs du projet.
Capture d’écran 2012-10-22 à 10.25.42 ()
"Conforter les délais de livraison facilitant la mise en service du stade pour la saison 2015/2016", c'est ainsi que la Foncière du Montout, filiale a 100% d'OL Groupe , a présenté dimanche soir 21 octobre, sa communication sur le lancement des travaux du Grand Stade.
Mais les travaux a proprement parlé ne concernent que le terrassement du terrain. "Comme ils ne sont plus dans les délais, ils bougent, décrypte Franck Buronfosse, président de Carton Rouge, fédération d'opposants au projet. Ils vont mettre une pelle et un camion sur le terrain pour dire qu'ils commencent les travaux, histoire de rassurer l'UEFA.... Mais tant qu'ils n'auront pas purgés tous les recours, ils ne pourront pas aller plus loin. On le voit bien, Vinci, le constructeur n'a toujours pas signé !".
Et en effet, l'UEFA presse Lyon qui souhaite accueillir une demi-finale de l'Euro 2016 de football de construire son futur stade à dimension européenne. "Les travaux de terrassement devraient durer environ 5 mois", précise la filiale d'OL Groupe. Ils commencent ce lundi "pour anticiper les éventuelles intempéries hivernales".
Vinci n'a toujours pas signé
"Communication politique, erratique" dénonce Etienne Tête, avocat de Carton Rouge qui plaidera le recours contre le permis de construire du Stade des Lumières d'ici quelques mois. Vinci, constructeur du Grand Stade, a toujours dit qu'il ne s'engagerait pas dans la construction du Grand stade tant que les recours ne seraient pas purgés, or ceux-ci ne sont habituellement pas jugés avant "18 mois si l'on se refaire aux délais moyens de traitement du tribunal administratif", affirme Etienne Tête. Ce qui porte à septembre 2013. Or Jean-Michel Aulas table sur décembre 2012. "Je n'ai pas d'informations là -dessus", précise Etienne Tête qui trouve "très inquiétant" de voir Jean-Michel Aulas donner "des garanties sur le délai de traitement de la justice".
Hors Ligue des champions, le stade ne serait plus justifié
En tout état de cause, la défense de l'opposant au Grand Stade est prête. Dans quelques mois, il plaidera deux arguments phares pour faire annuler le permis de construire du Stade des Lumières : la zone de sismicité sur laquelle les normes ont changé depuis le 1er mai 2011. Elle n'aurait pas été prise en compte dans la définition du permis de construire selon l'avocat. Autre argument, la constructibilité des terrains. Ils seraient devenus constructibles parce que les équipements publics à proximité auraient été jugés suffisants.
Or ce ne sont pas les équipements, mais les projets d'équipements (accès, parkings, plan de transport...) qui ont pu être évalués. Etienne Tête soutient que le tribunal ne reconnaitra pas la valeur de projets dans la mesure, en outre, où "tous les recours contre les accès du Grand stade, le PLU, les expropriations, ne sont pas jugés. Imaginez qu'un des accès du Grand Stade ne se fasse pas, comment ferait-on ?". A défaut, la déclaration d'intérêt général (DIG) aurait été portée au dossier.
Etienne Tête qui rappelle que le Grand Stade de l'OL a été imaginé au départ pour offrir 58 000 places aux supporters, contre 50 000 places dans un stade de Gerland rénové (lire ici). La capacité du stade et son plan de transports ont été pensés en fonction d'une équipe qui évoluait alors en Ligue des champions, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Selon Etienne Tête, les 8 000 de places de différences entre Gerland rénové et le Stade des Lumières ne se justifieraient donc plus (une grande part resterait vide aujourd'hui !), les 168 millions d'euros hors taxe d'argent public investis par les collectivités et l'Etat pour développer les accès encore moins.
donc on en déduit que ce n'est pas valable
Dès mai 2011 la réglementation parasismique évolue. Une réglementation en phase avec les prérogatives de l’Eurocode 8 qui aura une influence sur la manière de construire. Conception, implantation et mise en œuvre, tous les professionnels du bâtiment sont concernés.
SUR LE MÊME SUJET
Construction parasismique : classification des communes et règles de construction
Créer une alerte sur ce sujet
La nouvelle réglementation parasismique sera applicable aux bâtiments dont le permis de construire sera déposé à partir du 1er mai 2011. A partir de cette date, l'Eurocode 8 « Conception et dimensionnement des structures pour leur résistance aux séismes » s'imposera comme règle de construction parasismique de référence pour les bâtiments neufs dits à risque normal. Une période transitoire d'adaptation a néanmoins été prévue par le législateur. Ainsi, la nouvelle réglementation cohabitera avec l'ancienne jusqu'au 31 octobre 2012. Pendant cette période, les règles parasismiques PS92 2004 restent applicables pour les bâtiments de catégorie d'importance II, III ou IV ayant fait l'objet d'une demande de permis de construire, d'une déclaration préalable ou d'une autorisation de début de travaux. En revanche, les valeurs d'accélération à prendre en compte sont modifiées dès le 1er mai 2011.
Etude géotechnique
Outre un nouveau zonage du territoire qui permet d'être en accord avec les principes de dimensionnement de l'Eurocode 8 et une nouvelle classification des bâtiments*, ces nouvelles règles auront bien sûr des incidences sur la conception desdits bâtiments, leur implantation et leur mise en œuvre. Ainsi en ce qui concerne l'implantation, la réalisation d'une étude géotechnique s'impose. L'objectif étant de connaître les caractéristiques du terrain afin de caractériser les éventuelles amplifications du mouvement sismique éventuel. Le bâtiment doit également être protégé des risques d'éboulements et de glissements de terrain provoqués par le séisme. La consultation du plan de prévention des risques (PPR) sismique de la commune apporte des informations sur ce plan. Dans tous les cas, il convient de s'éloigner des bords de falaise, des pieds de crête ou des pentes instables. A prendre en compte également, le risque de liquéfaction du sol c'est-à -dire sa perte de capacité portante. Ainsi des bâtiments « souples élancés » seront davantage adaptés à un sol dur type roche, alors que les bâtiments « rigides massifs » auront un meilleur comportement sur des sols mous.
Principes de conception
Du côté de la conception, quatre principes sont à appliquer. En premier lieu, une préférence pour les formes simples en privilégiant la compacité du bâtiment, en limitant les décrochements en plan ou en élévation et en fractionnant l'ouvrage en blocs homogènes par des joints parasismiques continus. Deuxième principe, limiter les effets de torsion. Il s'agit de distribuer les masses et les raideurs (murs, poteaux, voiles...) de façon équilibrée. Troisième règle : assurer la reprise des efforts sismiques en assurant le contreventement horizontal et vertical de la structure, en superposant les éléments de contreventement et en créant des diaphragmes rigides à tous les niveaux. Enfin, toujours bon à rappeler, l'application des règles de construction. La mise en œuvre a, elle aussi, toute son importance et les entreprises, de la plus grande à la plus petite, doivent être sensibilisées à ces questions et assurer un suivi rigoureux de chantier. Les éléments de connexion, leur assemblage, leur recouvrement, leur continuité doivent faire l'objet d'une attention particulière et garantir la tenue mécanique de l'ouvrage. Et, quels que soient les matériaux utilisés pour le montage de la structure (béton, bloc à maçonner, métal, bois), il est nécessaire d'utiliser des produits et systèmes normés et de qualité.
Contreventement
En toute logique, les ouvrages liés à l'isolation des parois, aux cloisonnements, les planchers et plafonds techniques ou encore les équipements techniques sont, comme le gros œuvre, exposés au risque. Pourtant pendant longtemps, ces parties de la construction, jugées comme secondaires, n'ont pas été prises en compte. Ce ne sera plus le cas car l'Eurocode 8 s'intéresse à tous les aspects de la construction. L'objectif étant d'éviter les chutes, le renversement, d'assurer l'intégrité des fonctions de sécurité en évitant le grippage, les déformations ou encore les pertes d'étanchéité ou les ruptures dues à des déplacements différentiels entre les différentes parties des équipements. Par exemple, la conception des plafonds suspendus doit être étudiée de telle sorte que leur stabilité reste assurée dans l'hypothèse d'un déplacement par rapport au gros œuvre. L'expérience a montré que les chutes, tout en provoquant des blessures, entravent l'évacuation des locaux. Pour assurer la tenue de ces éléments, une seule solution : le contreventement. Cette règle est valable pour les plafonds, les cloisons, les planchers techniques, les gaines de ventilation, mais aussi pour les chemins de câbles ou les luminaires. Autre élément sensible de la construction, les vitrages. L'utilisation du verre courant (verre recuit) ne convient pas pour les zones de passage et les baies sur rue sans protection (balcons, loggias, etc.). Le verre Securit, feuilleté, organique ou simplement muni de film adhésif, évite la destruction sous forme "tranchante". De leur côté, les menuiseries et le système de fixation doivent pouvoir absorber la déformation de la structure et protéger le vitrage par des systèmes découplés et/ou des matériaux résilients.
garden a écrit:c'est parti !!!
Macca7342 a écrit:Peut-être mais n'est pas le débat. Je vous soutenais dans votre combat pour construire votre stade en faisant remarquer la gabegie que va représenter le Musée des Confluences qui n'attirera pas le dixième de votre stade et que dans ce cas précis pas un mot des contribuables lyonnais sur le sujet. Mais vue la maquette postée par tes soins es-tu impliqué dans ce projet
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 19 invités