langevert42 a écrit:et c est pas ce stade ovale qui remplace gerland.....
Ce n'est pas parce que l'on arrondit les angles d'un rectangle que celui ci devient ovale.........
langevert42 a écrit:et c est pas ce stade ovale qui remplace gerland.....
arty a écrit:langevert42 a écrit:et c est pas ce stade ovale qui remplace gerland.....
Ce n'est pas parce que l'on arrondit les angles d'un rectangle que celui ci devient ovale.........
Elie a écrit:Aaliyah190 a écrit:La toiture d'Henri Point (tribune avec les "poteaux" bleus) sera conservée mais son aspect devrait etre modifié pour conserver une harmonie avec le reste
D'ou tu tiens cette info??
Dommage qu'il n'est pas voulu harmoniser le bardage
Lors d’une conférence de presse, ce mardi 5 juin 2012 à Paris, Maurice Vincent, président (PS) de Saint-Etienne Métropole a fait le point sur l’avancement de la rénovation du stade Geoffroy Guichard. Pour les travaux de l’ordre de 65 millions d’euros financés sur fonds publics, l’intercommunalité a fait appel à une entreprise régionale, Léon Grosse.
« Pas question de détruire Geoffroy Guichard. La population y est très attachée. Un nouveau stade aurait coûté entre 200 et 300 millions d’euros. De toutes les manières, nous n’avions pas de terrain urbanisable » : au contraire de ses collègues de la communauté urbaine du Grand Lyon ou de la métropole Nice Côte d’Azur, à rebours de ce que demandaient en 2009 les deux patrons du club de foot local, Maurice Vincent, président (PS) de la communauté d’agglomération de Saint-Etienne Métropole a dit non à une nouvelle arène.
Il a même opté pour une maîtrise d’ouvrage publique (MOP). Un cas rare parmi les dix enceintes destinées à accueillir le championnat d’Europe de football en 2016.
« Dans le cadre d’une rénovation, un partenariat public-privé (PPP), les remboursements d’emprunt auraient été trop élevés pour nous », assume Maurice Vincent, également maire de la ville de Saint-Etienne, sous la menace de prêts « toxiques ».
Jouer la carte de la modestie - Au total, la note devrait avoisiner les 65 millions d’euros TTC. Une somme relativement modeste au regard des 136 millions d’euros de travaux d’aménagement et de la redevance annuelle de 7,2 millions d’euros sur 31 ans dont devra s’acquitter la communauté urbaine de Lille Métropole pour son « arena » high tech.
« Chaque situation est particulière », botte en touche Maurice Vincent, soucieux de ne pas tacler ses camarades du club des villes organisatrices de l’Euro 2016.
« Si l’on retranche le remboursement de la TVA et la hausse de la redevance que nous versera le club qui passera de 800 000 à environ 1 500 000 euros, le coût résiduel pour les 400 000 habitants de l’agglomération sera de 15 millions échelonnés sur 20 ans », détaille le président de l’agglo dont le cabinet, à la ville, compte dans ses rangs Patrick Revelli, ailier droit de la légendaire équipe des Verts de 1976, finaliste de la Coupe d’Europe des clubs champions.
Arrondir les angles - Les travaux visent à soumettre Geoffroy Guichard aux normes très lourdes imposées par l’Union of european football associations (UEFA) pour l’Euro 2016.
Ils ont débuté voici un an, sans remettre en cause l’accueil des rencontres de Ligue 1 de football.
Pour les mener, l’intercommunalité a sélectionné l’entreprise Léon Grosse basée à Bron, plutôt qu’à un mastodonte du BTP.
Les angles, jusqu’ici inoccupés, vont être comblés. Cependant, l’un d’entre eux n’a pas vocation à accueillir des gradins : à cet endroit, le sous-sol est trop fragile.
Le nouveau Geoffroy Guichard sera livré en 2014. Saint-Etienne Métropole, à l’instar de Roland Goujon, son vice-président en charge des sports et des équipements sportifs, souhaite que le chaudron devienne « un symbole en matière de design, domaine d’excellence de l’agglomération. »
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