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Bonne Année à tous 2011
Le Grand Stade dans tous ses états
Recours gracieux ou plus belliqueux, lancement du chantier, pose officielle de la « première pierre », un convoi exceptionnel de poutres géantes retardé... Le Grand Stade aura connu bien des péripéties en 2010. Retour sur une année loin d'être un long fleuve tranquille.
MARIG DOUCY > marig.doucy@nordeclair.fr
Janvier. Eric Darques dépose un recours devant le tribunal administratif, contestant les conditions du choix du constructeur.
17 février. L'association « Les 2sous du Grand Stade » dépose un recours contre le permis de construire, qui doit devenir définitif le 18 mars. Deux textes émanant de la Ddass (Direction départementale des affaires sanitaires et sociales) motivent cette décision. Le bruit que générerait le stade aurait notamment été sous-évalué.
17 mars. Les maires respectifs de Villeneuve d'Ascq et Lezennes, Gérard Caudron et Marc Godefroy, laissent au tribunal administratif le soin d'apprécier la validité du permis de construire, suite au recours déposé par « Les 2sous du Grand Stade » 29 mars. Elisa, filiale d'Eiffage, entame les fondations du Grand Stade, dix jours après la confirmation du permis de construire. La Communauté urbaine a donné son aval, alors qu'il lui était possible de suspendre pour 6 à 9 mois les travaux.
29 avril. « Les 2sous du Grand Stade » déposent devant le tribunal administratif un référé-suspension pour demander l'arrêt du chantier en cours.
26 mai. Le tribunal administratif rejette la demande de référé-suspension du permis de construire déposée par « Les 2sous du Grand Stade ».
9 juin. Lors d'une rencontre entre Martine Aubry et Roselyne Bachelot, ministre des Sports, une enveloppe de 30 millions pour le Grand Stade, dans le cadre de l'Euro 2016, pourrait être versée par l'Etat, en plus des 36 millions déboursés pour le nouvel échangeur.
14 juin. Le recours d'Eric Darques est rejeté par le tribunal administratif. Il ne fera pas appel.
2 juillet. Eiffage, LMCU, l'Etat et Pôle Emploi signent une convention « Grand Stade partenariat pour l'emploi ». 24 jeunes devraient être embauchés en contrat de professionnalisation.
14 septembre. Elisa lance un appel aux entreprises de la région pour équiper le Grand Stade en nouvelles technologies.
27 septembre. Une première pierre, toute symbolique, est posée Borne de l'Espoir, devant près de 450 invités et 300 salariés d'Eiffage.
29 septembre. « 20 Minutes » révèle l'existence d'un rapport de la chambre régionale des comptes, offrant une lecture détaillée du montage financier du Grand Stade. Il en ressort que le prix par place, 5 200 E HT, est qualifié d'« élevé » et que « le risque sportif ne sera en réalité pas assumé par le partenaire privé mais par le partenaire public ».
Novembre. Début des travaux de l'échangeur, financé par l'Etat à hauteur de 36 millions d' E, LMCU prenant en charge 11 millions d' E.
19 novembre. L'association Nord Ecologie Conseil (NEC) dépose un recours ayant pour objectif d'enjoindre au préfet de demander au constructeur de respecter la réglementation pour le remblai des catiches. 50 000 tonnes de cendres radioactives et chargées en métaux lourds provenant du site des Ansereuilles ont été utilisées. NEC estime qu'aucune étude d'impact environnemental sérieuse n'a été menée.
29 novembre. Le convoi exceptionnel de six méga-poutres de 27 m sur 8 m est bloqué en raison des intempéries.
8 décembre. Les méga-poutres quittent enfin le port de Lille, direction la Borne de l'Espoir.
13 décembre. Un protocole officialisant droits et devoirs de chaque partenaire est signé entre la Communauté urbaine et les acteurs de la Cité scientifique.
15 décembre. Eric Darques dépose une plainte contre X au parquet de Lille pour « faux et usage de faux » et « atteinte à l'égalité des candidats dans un marché public ». Il remet ainsi en cause, au pénal cette fois, la procédure d'attribution du marché du Grand Stade.
22 décembre. Le tribunal administratif rejette le recours de Nord Ecologie Conseil.
dooby59 a écrit:Du rififi autour du Grand Stade de Lille
Une plainte contre X vient d'être déposée au pénal. Elle vise les conditions dans lesquelles l'entreprise Eiffage a été retenue pour assurer la construction et l'exploitation de cet équipement sportif.
"Ce rapport postérieur a été antidaté pour justifier le vote des conseillers communautaires, affirme Eric Darques. Dans ce document, les notes attribuées à Eiffage et Norpac ont été légèrement modifiées pour donner l'avantage au premier. Et quelques mots ont été rajoutés pour indiquer que l'architecture du projet de Norpac 'n'est pas unanimement appréciée'. Au bout du compte, le choix d'Eiffage renchérit la facture de 108 millions d'euros!"
Plus grave: la plainte rédigée par son avocat parisien, Me Joseph Bréham, évoque par ailleurs "un éventuel contexte corruptif"
http://www.lexpress.fr/actualite/sport/ ... 45226.html
Éric Darques dépose plainte pour faux et usage de faux
L'homme qui a fait renvoyer Pierre Mauroy en correctionnelle pour l'emploi présumé fictif de Lyne Cohen-Solal vient de sévir à nouveau. Débouté en juin de son action par le tribunal administratif devant lequel il avait réclamé l'annulation de la délibération votée par la communauté urbaine de Lille, qui accordait la construction du Grand Stade au groupe Eiffage, Éric Darques avait promis de déposer plainte en correctionnelle. ...
La construction du Grand stade entraîne la rénovation et la création des voies de circulation alentour afin d’en faciliter l’accès. Cela nécessite notamment la construction d’ouvrages d’art qui transformeront le site.
Alors que les carrefours des Quatre Cantons ont été réaménagés, de nouveaux travaux ont été entrepris autour du Grand stade. Depuis plusieurs semaines les tractopelles et autres engins de travaux publics ont envahi le noeud autoroutier à la porte sud de Villeneuve d’Ascq.
Il s’agit des travaux préparatoires à la construction de voies d’accès qui mèneront directement au futur équipement sportif et culturel de 50 000 places depuis l’A22 (portion d’autoroute située entre l’A1 et l’A27) et l’A23 (Valenciennes).
Ces échangeurs nécessitent des ouvrages qui enjamberont les voies actuelles. Les spectateurs venant de l’A1 accèderont directement au stade par une bretelle qui surplombera l’échangeur. Ils arriveront à contre-sens au niveau de la nationale 227. Ce sera l’ouvrage le plus impressionnant. Le site sera dès lors transformé. Les travaux préparatoires - notamment de défrichement - donnent un aperçu du changement.
Ces travaux dureront jusqu’en juin 2012, soit un mois avant la livraison du stade. Durant cette période, la circulation routière ne devrait pas être perturbée. « Il n’y aura pas de réduction de capacités des voies », souligne Michel Leblanc de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL). Seules les bandes d’arrêt d’urgence seront fermées ainsi que l’accès à Synergie Park durant l’été prochain.
Grand Stade. Forteresse imprenable pour les PME?
le 5 novembre 2010
Pour bâtir et exploiter le futur Grand Stade de la région, Eiffage doit faire appel à de nombreux prestataires. Les PME locales ont un match à jouer.
Eiffage Lille Stadium Arena (Elisa), société maître d'ouvrage et gestionnaire du futur Grand Stade pour 31ans, entend jouer l'ouverture vis-à -vis des PME. Pour défendre leurs atouts, une sélection d'entreprises du Pôle régional numérique a eu droit à un speed business meeting organisé à huis clos le 27octobre, au pavillon d'accueil du chantier. Un rendez-vous similaire est encore prévu ce mois-ci. Les PME régionales pensent-elles réellement avoir leur tribune au stade lillois? Quel ticket jouent-elles? Comment Eiffage les perçoit et comment les entreprises voient le futur équipement sportif et événementiel? Décryptage.
Dossier réalisé par Géry Bertrande
Si Eiffage ne veut pas lui donner l'image d'une forteresse, le chantier du futur Grand Stade lillois ressemble déjà fort à un bunker. Impossible en effet d'accéder à la journée speed business meeting du 27octobre. Ce jour-là 34PME ont pu défendre leur offre commerciale en 7minutes, 7slides, 7questions. Le huis clos était de mise, officiellement pour libérer Eiffage d'éventuelles pressions médiatiques, économiques et politiques. Une deuxième journée doit être organisée ce mois-ci vu le timing serré. Voulue par Eiffage, en partenariat avec le Pôle régional numérique (PRN), cette «journée 777» est une avancée louable vers l'ouverture aux PME du secteur du numérique, constituant un pôle d'excellence régional. Lors d'une première réunion d'information à laquelle assistaient 250entreprises, en septembre à EuraTechnologies, Gilles Malavallon DG d'Elisa, avait prévenu et le répète encore aujourd'hui: «Nous cherchons à utiliser les compétences locales, selon une démarche qui vise à favoriser l'emploi des PME. Mais je n'ai pas le droit, en tant que donneur d'ordre, de privilégier le local. Ce serait une distorsion à la libre concurrence. Par contre, à compétences équivalentes et à prix égal, nous prenons local! Ce n'est pas une obligation, mais une préférence», nuance-t-il.
25% du marché aux PME Dans un engagement contractuel avec la communauté urbaine de Lille, Eiffage a l'obligation de sous-traiter à des PME un quart du marché global des travaux comprenant tout l'équipement, jusqu'aux écrans des loges. Eiffage a aussi des engagements en exploitation. Ce seuil sera «largement dépassé», selon Gilles Malavallon, fortement sollicité par des prestataires. «Nous recevons une douzaine de propositions chaque semaine. Nous faisons un tri», confie-t-il. Comment aborder ce mastodonte? Beaucoup de PME régionales n'y songent même pas. «Nous ne savons pas qui contacter et les marchés qui nous concernent paraissent déjà préétablis», confie ce dirigeant du secteur de la restauration. Difficile d'identifier le bon interlocuteur au sein d'un grand groupe. «Seuls, nous ne serions jamais allés au contact de ces gens-là . Je n'y avais même pas pensé», avoue Christian Bodier, directeur associé de Levacomm, expert des blogs d'entreprises. «Vis-à -vis des grandes boîtes, les PME ont souvent une image pas sérieuse, renchérit-il. Mais nous sommes un maillon des services du Grand Stade.»
Ouvrir des portes Le Pôle régional numérique (PRN) a donc pris les devants. En proposant une journée de rencontre de PME locales, il a su convaincre Eiffage de se pencher sur le savoir-faire local. D'un autre côté, il a entrouvert une large porte aux PME. «Si nous n'avions pas organisé cette journée, basée sur des méthodes anglo-saxonnes, le marché du Grand Stade aurait été inaccessible pour certaines entreprises», explique Fabrice Galoo, DG du PRN, qui fait remarquer «l'effort consenti» par Eiffage. «Le PRN nous permet d'accéder à ces grands comptes qui vont ramener du business dans la région», se félicite Jean-Michel Flament, de l'agence Idées-3Com. Victime de son succès, le PRN avait reçu 70demandes d'entreprises, pour une quarantaine sélectionnée. «Nous avons été surpris par le nombre de dossiers», reconnaît Fabrice Galoo, satisfait de la première journée. «Eiffage a pu être impressionné par quelques technologies innovantes et pertinentes, comme par exemple cet écran 3D de 7pouces assez bluffant.» Du côté des PME, on salue unanimement la démarche et cette initiative très positive. Un premier barrage est levé. Pour prendre d'assaut la forteresse, mieux vaut être une PME innovante, si possible dans une niche technologique, en apportant des solutions concrètes aux exigences du Grand Stade.
Speed business meeting. 7minutes pour convaincre Elisa
Première du genre organisée le mois dernier, la «journée 777» de speed business meeting a permis à une quarantaine de PME régionales d'exposer leur offre commerciale. Tour d'horizon des avis à la sortie de cet exercice délicat. Premier à sortir du chaudron, Samuel Masson représente la start-up Kypple, qui recycle le béton des chantiers auprès des particuliers via le web. «Cet exercice n'est pas évident, admet le chef d'entreprise. Eiffage n'attendait pas du tout quelqu'un qui lui parle de béton. Or, c'est maintenant que les surplus vont être importants sur le chantier. Nous nous sommes rendu compte qu'ils étaient potentiellement intéressés, sans avoir la sensation de savoir si nous correspondions. Mais une petite société peut aider, à son niveau, un gros donneur d'ordre, note Samuel Masson, satisfait. C'est une très belle opportunité de toucher des gens importants de la direction d'Eiffage.»
«Innovant» Accompagné d'un collègue, Romain Dacquin, technicien réseau chez Conectis, société de 60salariés basée à Lesquin et adossée au groupe Rexel, salue l'initiative d'Elisa: «C'est innovant dans la forme. Le contact avec le donneur d'ordre est plus rapide et direct», souligne-t-il, à la sortie de sa présentation d'une offre VDV (voix, données, vidéo). Chez Levacomm, on se réjouit des synergies créées entre PME. «Nous avons, dans notre présentation, un sujet de recherche sur la sémantique avec la société CYO et le pôle Picom», souligne Christian Bodier, directeur associé. Spécialiste des blogs d'entreprises et de la notoriété sur le web, Levacomm imagine créer pour le Grand Stade un outil innovant. «Nous avons proposé à Elisa de créer le blog et le réseau social européen multilingues du Grand Stade. Tout ce dialogue doit entrer dans les canaux classiques de la relation client, dévoile Christian Bodier. Ce n'est pas dans sa priorité immédiate, mais Elisa sait qu'elle doit le faire. Nous n'avons rien à perdre», s'amuse le dirigeant séduit par ce premier contact. «Ces gens croient en nos compétences. Moi qui ai vécu un an et demi aux États-Unis, je retrouve un peu de cet esprit de la Silicon Valley et l'esprit des grands donneurs d'ordre qui emmènent des PME sur de nouveaux marchés, à l'international par exemple.»
«Compétences fortes» Jean-Michel Flament, d'Idées-3Com, attend maintenant le cahier des charges avec impatience. Il a proposé une communauté virtuelle 3D à Elisa. «Nous considérions à tort que nous n'avions pas accès à ces marchés. Or, il y a quand même en région des entreprises innovantes et des compétences fortes. Nous avons des choses à offrir, insiste-t-il. Il serait dommage que la modélisation du Grand Stade soit faite par une entreprise parisienne.» Alexandre Fayeulle, DG d'Advens, PME d'Euralille axée sur la sécurité informatique, n'avait pas pensé aborder le Grand Stade. «Je ne savais même pas qui le construisait», lance-t-il heureux d'avoir sensibilisé Elisa à son domaine de prédilection. «Ils n'avaient pas forcément intégré la façon d'aborder cette question au mieux. Nous avons marqué les esprits, dit-il humblement. Ils sont très intéressés par notre savoir-faire et ils ont vu qu'il y avait en région des acteurs reconnus au plan international. Les PME qui ont un savoir-faire important ont leur place au Grand Stade», conclut-il.
Gilles Malavallon. « Oui, les PME ont toute leur place»
Directeur général d'Elisa, filiale d'Eiffage maître d'oeuvre et futur gestionnaire du Grand Stade, Gilles Malavallon revient sur la «journée 777» et la place des PME dans le projet.
Les PME ont-elles leur tribune au Grand Stade? Oui, bien sûr, elles ont toute leur place! Un projet comme le Grand Stade comporte de très gros marchés et d'autres sur des niches de savoir-faire. Énormément de PME travaillent pour nous. Ce sont nos fournisseurs, nos prestataires. Nous avons un engagement contractuel avec LMCU de sous-traitement à des PME à hauteur de 25% du marché global des travaux, que nous dépasserons largement. Les entreprises du BTP sous des entreprises qui sous-traitent. Nous avons l'habitude de constituer des lots et d'aller chercher des spécialistes dans tous les domaines. Ce n'est pas parce que nous sommes un grand groupe que nous ne traitons qu'avec des grands groupes.
Qu'attendez-vous des PME? L'entreprise doit bien connaître son domaine, être capable de l'expliquer simplement et se demander quelle est sa valeur ajoutée. Il faut comprendre notre problématique et y apporter une solution. L'idée, pour nous, ce n'est pas de faire du Grand Stade une vitrine technologique, mais de mettre en place des technologies innovantes qui apportent des fonctionnalités pour répondre à des services.
Quels enseignements tirez-vous de la «Journée 777»? Cette journée permet de faire un zoom sur des aspects très fonctionnels et des applications pratiques. Nous avons vu des choses très intéressantes, de la part de gens passionnés. Nous avons rencontré une entreprise qui a travaillé sur un autre PPP d'Eiffage, mais que nous ne connaissions pas à Lille. Cette journée nous a permis de trouver des innovations et des applications concrètes, d'être en éveil sur des solutions pas forcément opérationnelles à court terme mais que l'infrastructure doit prendre en compte pour dans 2 ou 3ans. Nous avions identifié des sujets, mais des entreprises nous ont interpellés, et notamment des jeunes, sur d'autres solutions. Ce qui nous réconforte, c'est que notre positionnement est en phase avec ce que le marché nous propose. Nous ne nous sommes pas sentis largués par l'innovation et nous ne sentons pas non plus un tissu local déphasé.
Quelles sont les prochaines échéances? Nous allons digérer cette masse d'informations et la hiérarchiser. Certaines entreprises vont être intégrées tout de suite dans des appels d'offres, d'autres seront inscrites. Nous nous sommes engagés pour que toutes aient une réponse avant la fin de l'année. Il y a des entreprises avec qui nous allons travailler, c'est sûr.
D'autres «journées 777» en vue
Devant l'affluence des demandes, et malgré une présélection, Elisa doit monter avec le PRN un 2espeed business meeting ce mois-ci, à Lille, après la «journée 777» du 27octobre. Exemplaire, cette démarche unique en son genre pourrait bien être dupliquée ailleurs en France, sur d'autres chantiers, voire dans d'autres secteurs d'activités. Eiffage ne l'exclut pas. Des villes comme Lyon, Bordeaux ou Nice attendent aussi leur stade. Mongi Zidi, président du PRN, veut créer un annuaire régional des compétences.
Aguiloni a écrit:La construction du Grand stade entraîne la rénovation et la création des voies de circulation alentour afin d’en faciliter l’accès. Cela nécessite notamment la construction d’ouvrages d’art qui transformeront le site.
Alors que les carrefours des Quatre Cantons ont été réaménagés, de nouveaux travaux ont été entrepris autour du Grand stade. Depuis plusieurs semaines les tractopelles et autres engins de travaux publics ont envahi le noeud autoroutier à la porte sud de Villeneuve d’Ascq.
Il s’agit des travaux préparatoires à la construction de voies d’accès qui mèneront directement au futur équipement sportif et culturel de 50 000 places depuis l’A22 (portion d’autoroute située entre l’A1 et l’A27) et l’A23 (Valenciennes).
Ces échangeurs nécessitent des ouvrages qui enjamberont les voies actuelles. Les spectateurs venant de l’A1 accèderont directement au stade par une bretelle qui surplombera l’échangeur. Ils arriveront à contre-sens au niveau de la nationale 227. Ce sera l’ouvrage le plus impressionnant. Le site sera dès lors transformé. Les travaux préparatoires - notamment de défrichement - donnent un aperçu du changement.
Ces travaux dureront jusqu’en juin 2012, soit un mois avant la livraison du stade. Durant cette période, la circulation routière ne devrait pas être perturbée. « Il n’y aura pas de réduction de capacités des voies », souligne Michel Leblanc de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL). Seules les bandes d’arrêt d’urgence seront fermées ainsi que l’accès à Synergie Park durant l’été prochain.
Source: http://www.lillemetropole.fr/index.php? ... t_id=19283
Slam321 a écrit:Ca fait longtemps que je n'ai pas mis mon blog à jour donc je vais peut être faire des photos prochainement. Le chantier recommence à bouger avec la hausse des tempêratures. Indo, vu que tu parles de la passerelle, je ne sais pas si tu as vu du côté de Lille 1, ils ont commencé les marquages au sol.
Slam321 a écrit:Ca fait longtemps que je n'ai pas mis mon blog à jour donc je vais peut être faire des photos prochainement. Le chantier recommence à bouger avec la hausse des tempêratures. Indo, vu que tu parles de la passerelle, je ne sais pas si tu as vu du côté de Lille 1, ils ont commencé les marquages au sol.
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