Erebus a écrit:Oui mais à Moscou il fait -8°, t'emmènes pas la famille au stade par ce temps là .
T'emmène juste ta belle mère
Erebus a écrit:Oui mais à Moscou il fait -8°, t'emmènes pas la famille au stade par ce temps là .
Slam321 a écrit:Erebus a écrit:Oui mais à Moscou il fait -8°, t'emmènes pas la famille au stade par ce temps là .
T'emmène juste ta belle mère
Slam321 a écrit:En tribune couvert ça passe encore (je ne sais pas si c'est ton cas), mais en sud ou en nord c'est un supplice. Je me rappelle encore d'un Lille Le Mans il y a 2 ans, j'ai cru que j'allais perdre mes orteils, on a du aller marcher pendant le match pour les réchauffer.
Van Basten a écrit:Il faut acheter des gels chauffants que tu mets à tes pieds. Ca dure 6h , en vente à decat' . Moi c'est un match contre grenoble de CDL où j'ai eu le plus froid et en plus on avait perdu
A Lille, le Grand Stade se cherche toujours un nom
La Communauté urbaine de Lille peine à trouver un partenaire pour le «naming» de la future enceinte du Losc...
A moins de neuf mois du bapÂtême, le grand stade de Lille se cherche encore un nom. Selon nos informations, une dizaine de grandes entreprises de la métropole ont été sondées par le bras droit de Martine Aubry, Pierre de SaintiÂgnon depuis juin, sans succès. Le vice-président de la communauté urbaine (LMCU), avait récupéré le dossier «en direct» après la faillite du prestataire Sportys, révélée en juin par 20 Minutes.
Pour Lille Métropole, il s’agit d’obtenir au moins 3,3 millions d’euros par an pour la vente du nom du stade et la location d’espaces annexes (loges, pubs sur la tribune, etc...). La communauté urbaine cherche un sponsor principal et jusqu’à quatre «grands partenaires». «Quand on a repris le dossier on était plus confiants que maintenant», concède Pierre de Saintignon.
Oxylane-Décathlon jete l'éponge
Mais la rechute financière est passée par là . D’ailleurs, Wroclaw (Pologne), qui est sur le point de se jumeler avec Lille, a «les mêmes soucis pour son stade de l’Euro 2012», assure le vice-président. Et logiquement, il semble bien que ce soit la facture qui pose problème. Selon une source interne, la direction d’OxyÂlane-Décathlon aurait déjà jeté l’éponge. Au groupe Partouche, sponsor de longue date du Losc, on s’interroge encore sur l’impact du «naming». «C’est un proÂduit nouveau en France, il est difficile d’évaluer le prix du marché», explique ainsi Maurice Schulmann, en charge des partenariats au sein du groupe de casiÂnos.
Au Mans, seul exemple français, MMA verse l’équivalent de 1,3 million d’euros par an, trois fois moins. «Pas question de brader» insiste cependant Pierre de Saintignon. Brader non, mais consentir une réduction? Dans le contrat de partenariat initial sur le Grand Stade, le Losc avait évalué les revenus du naÂming à 2,3 millions d’euros par an.
Olivier Aballain, Ã Lille
LANDAS a écrit:Tant mieux si le naming échoue.
Ras le bol de ses stades aux noms de sponsors.
On est déja sufisemment agressé par la pub : sur les banières numériques, les écrans, la sono ...
Bref vive un bon "Dôme Jean Barratte" ou autre.
Axelferis a écrit:
On sait très bien que la L1 cherche à se vendre à l'étranger en terme de couverture ( cf au match de 12 ou 13h programmé le dimanche à partir de la saison 2012-2013). L'arrivée des qataris du psg va dans ce sens avec de lourds investissements. Ils ont aussi la chaîne al djazeera qui va diffuser du contenu L1...
romain.fegi a écrit:A Lille, le Grand Stade se cherche toujours un nom
La Communauté urbaine de Lille peine à trouver un partenaire pour le «naming» de la future enceinte du Losc...
A moins de neuf mois du bapÂtême, le grand stade de Lille se cherche encore un nom. Selon nos informations, [size=200]une dizaine de grandes entreprises de la métropole ont été sondées[/size] par le bras droit de Martine Aubry, Pierre de SaintiÂgnon depuis juin, sans succès. Le vice-président de la communauté urbaine (LMCU), avait récupéré le dossier «en direct» après la faillite du prestataire Sportys, révélée en juin par 20 Minutes.
Pour Lille Métropole, il s’agit d’obtenir au moins 3,3 millions d’euros par an pour la vente du nom du stade et la location d’espaces annexes (loges, pubs sur la tribune, etc...). La communauté urbaine cherche un sponsor principal et jusqu’à quatre «grands partenaires». «Quand on a repris le dossier on était plus confiants que maintenant», concède Pierre de Saintignon.
LANDAS a écrit:Tant mieux si le naming échoue.
Ras le bol de ses stades aux noms de sponsors.
On est déja sufisemment agressé par la pub : sur les banières numériques, les écrans, la sono ...
Bref vive un bon "Dôme Jean Barratte" ou autre.
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