fabol22 a écrit:ça me fait penser à une chanson des fatals picards (hasta xxl) qui se moque des gars qui achètent tout et n'importe quoi à l'effigie du Che !
hervébien a écrit:fabol22 a écrit:ça me fait penser à une chanson des fatals picards (hasta xxl) qui se moque des gars qui achètent tout et n'importe quoi à l'effigie du Che !
Putain mais t'es une salope de pédophile Maintenant je vais te traquer, immonde violeur d'enfants!! Et je vais te fister au pushka 7.62, après on verra si t'as encore envie de te taper des gosses. Sale merde de névropathe!!!
Ligue 1 : Comment remplir les stades ? Les solutions que les clubs devraient appliquer
23/10/2016 Ã 09h00
Comment remplir les stades de Ligue 1 ? Episode 1. En baisse cette saison, les affluences sont l’un des points noirs de la Ligue 1. RMC Sport s’est appuyé sur un rapport remis aux clubs. Un enjeu majeur si les clubs ne veulent pas connaitre une terrible désillusion dans les dix années à venir.
Le constat : la France en retard
L’Euro en France n’aura pas eu l’effet escompté. Au soir de la 9e journée de championnat, les affluences dans les stades de Ligue 1 avaient chuté de 4% par rapport au même moment de la saison précédente. Trois raisons principales peuvent expliquer cette chute. D’abord l’« effet OM ». Les supporters du Vélodrome ont déserté l’enceinte en raison des résultats catastrophiques de la saison 2015-2016 (seulement trois victoires). La désertion du Vélodrome explique ainsi les deux tiers de cette baisse globale. L’état d’urgence et les dynamiques sportives poussives (notamment dans les villes à fort potentiel comme Bordeaux, Lille, Montpellier) sont d’autres raisons.
De quoi pousser les clubs à réfléchir aux solutions pour améliorer les affluences. « Les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 doivent modifier radicalement leur credo historique, à savoir que gagner des matches constitue une stratégie commerciale », résume le rapport de G2 Strategic remis aux clubs au premier semestre 2014. Marshall Glickman, président de G2 Strategic, a notamment été président de la franchise NBA des Portland Trailblazers et président directeur général de la franchise MLS des Portland Timbers. Antony Thiodet, son associé, a notamment été président délégué de l’ASVEL (basket) et directeur de la communication et du marketing de la FFBB. Ce sont eux qui ont remporté l’appel d’offres de la Ligue et qui ont fourni un véritable travail de fond.
Un chiffre qui laisse à réfléchir au moment de présenter les préconisations : Arsenal génère des recettes « jour de match » équivalentes à 78 % de l’ensemble des recettes billetterie moyennes de l’intégralité des clubs de Ligue 1. A méditer…
Les cinq recommandations pour booster la fréquentation des stades
Partir à la conquête de nouveaux publics
Pendant des années, les clubs français se sont contentés de capter la « demande naturelle » et d’accueillir les publics qui se présentaient spontanément à leurs guichets. Or, les « supporters assidus » viennent aux matchs quoi qu’il arrive. Il faut donc aller à la conquête de nouveaux publics qui compléteront la demande naturelle. Ceux qui viennent chercher autre chose : se divertir, rencontrer des gens, faire du business. Le rapport G2 Strategic révèle ainsi que « seulement respectivement 14 % et 27 % des spectateurs de rencontres de la NFL et de la NBA, sont des supporters "inconditionnels" ou "assidus" ». La même étude a par ailleurs pointé que « la vaste majorité des supporters "inconditionnels" et "assidus" de la plupart des sports ne se rendent même pas dans les stades pour les rencontres elles-mêmes ». On en déduit que les clubs doivent travailler sur la notion de plaisir.
Séduire les femmes
« Les clients non assidus doivent quitter le stade heureux, satisfaits et avec le sentiment d’en avoir eu pour leur argent : quel que soit le résultat du match, ils doivent se régaler, » ajoute le rapport. Dans ces conditions, la captation d’un public féminin est une piste à explorer. Seulement 11 % des spectateurs qui assistent aux matches de la LFP sont des femmes. Dans les ligues américaines, elles sont près de 50%. Et quand on sait que les femmes sont généralement les personnes d’un foyer qui décident des activités de loisir d’une famille, on se dit que le marché est immense. D’une manière plus générale, les clubs ont du mal à comprendre que la nouvelle génération de clients n’a rien à voir avec l’ancienne génération et que leur demande n’a rien à voir avec celle de leurs parents.
Vendre la fête et la passion
Difficile de vendre son produit et son match de football quand une rencontre se déroule devant des tribunes clairsemées. « Toute l’énergie disponible dans chaque club devrait être utilisée, non pas à augmenter l’affluence moyenne, mais à accroître le nombre de matches joués à guichets fermés. En diminuant la liste des matches disponibles, la demande débordera sur les matches suivants », détaille le rapport remis à la Ligue. Les clubs doivent donc se concentrer sur les matchs à fort potentiel, ceux qui vont engendrer des ambiances positives et feront revenir les spectateurs, surtout les « non assidus ». Car si ces spectateurs constatent des tribunes vides, ils n’auront pas l’envie de revenir. Au contraire, si l’ambiance y est festive et si les clubs font la promotion des rendez-vous suivants, sans doute se laisseront-il tenter.
Revoir la stratégie billetterie
Il y a d’abord la grille tarifaire. Chaque club devrait compter entre 8 et 12 tarifs différents par tranche de 20 000 places et segmenter au maximum son offre. Tout en gardant en mémoire la règle des 70-30 : environ 70 % des revenus billetterie doivent provenir de seulement 30 % de l’ensemble des places. Il faudra également travailler sur les gammes d’options pour les clients potentiels. Chaque produit de billetterie doit être porté par une stratégie marketing dédié et ciblé, que ce soit en direction des groupes, des familles, des jeunes, des adultes, des professionnels, des individuels à fort pouvoir d’achats, des membres de clubs de foot ou des supporters.
« Quand vous couplez des billets à des services et avantages, alors la valeur augmente, explique le rapport. Si un secteur dédié aux familles est situé dans la partie haute du stade mais que les billets y incluent nourritures et boissons pour les enfants, qu’il donne accès à un mini-terrain où ils pourront s’amuser, alors la valeur des billets augmentera. » Un concept difficilement applicable aujourd’hui en France, car on manque d’espace. Les clubs ont du mal à comprendre qu’il leur faut sacrifier des places pour des terrasses et des lieux de services. D’autres préconisations vont contre les idées reçues, comme par exemple l’abandon des invitations pour compenser la faible fréquentation. « L’idée selon laquelle distribuer des invitations vous permettra de recruter de futurs clients est erronée. Vous développez juste le réflexe pour votre public de courir après de nouvelles invitations », prévient le rapport.
Envisager de réduire la capacité des stades
Et si le foot français s’était trompé en pensant que la construction de grands stades modernes résoudrait tous les problèmes ? D’abord parce que la modernité de ces enceintes est toute relative et qu’elles ont été conçues pour répondre à un cahier des charges d’une compétition qui n’a duré qu’un mois et dont les exigences sont différentes de celles de la LFP. « Les nouveaux stades et les stades rénovés ne sont pas la panacée, explique G2 Stratégie. L’effet "lune de miel" d’un nouveau stade génère habituellement une augmentation du chiffre d’affaires qui ne dépasse pas 10 à 15% et l’effet "nouveauté" se dissipe au bout d’un an. En définitive, c’est la qualité de l’expérience qui prime. »
D’autant qu’à l’exception de Lyon, les clubs n’ont jamais été sérieusement associés à la conception de ces stades et ne sont associés à leur exploitation. Certains stades étant trop grands, les clubs devraient envisager de réduire la capacité de leur enceinte pour stimuler une plus grande demande et multiplier les matchs à guichets fermés et ainsi installer une forme de rareté. Comme la plupart des clubs MLS, les clubs doivent accepter de sacrifier des recettes court terme pour rétablir les bases d’un business pérenne. Une idée très difficile à faire accepter aux clubs.
La conclusion : en finir avec la tyrannie du court terme
G2 Strategic a fourni aux clubs un rapport de 150 pages avec une cinquantaine de mesures. Du côté de la société de conseil, on insiste sur la nécessité de mener de front la cinquantaine de mesures pour bénéficier de résultats positifs. Prendre un principe sans réfléchir aux autres n’aurait aucun sens. En France, c’est pourtant la « tyrannie du court terme » qui gouverne avec le « diktat » imposé par les rentrées financières des droits TV. Cela nécessite une véritable prise de conscience des dirigeants, pas toujours enclins à changer leur approche du business. Les perspectives ne sont en effet guère réjouissantes.
A l’image de la Coupe du monde 1998, les stades de l’Euro sont déjà obsolètes car pensés pendant une autre époque. Les dirigeants doivent pourtant se préparer et se positionner et plutôt que de mettre en avant leur argent dans le secteur sportif, ils auraient tout intérêt à réfléchir à construire une réserve pour devenir exploitant de leur stade. G2 Strategic en a terminé avec sa mission avec la LFP et travaille aujourd’hui directement avec certains clubs, sans aucun intermédiaire. Ces derniers n’en tireront des bénéfices que dans plusieurs années. Certains (PSG, Lyon, Nancy, Toulouse et Metz notamment ont compris l’enjeu de ce nouveau challenge. D’autres (Bordeaux, Saint-Etienne) en sont encore loin…
rmcsport
Ligue 1 : Comment remplir les stades ? A Caen, on divertit et on cible
23/10/2016 Ã 09h01
Comment remplir les stades de Ligue 1 ? Episode 2. RMC Sport a rendu visite au Stade Malherbe Caen pour percer le secret de l’un des meilleurs taux de remplissage du championnat (83% après neuf journées). Divertissement, sectorisation, plaisir. Pierre Cormier, directeur commercial du club normand, nous explique ce qui est mis en place.
La stratégie du club
"On essaie, à tous les matchs, de mettre en place des animations, une stratégie d’entertainment pour faire en sorte que le foot devienne un spectacle grand public, familial, qui n’est pas uniquement destiné à des fans de foot mais à des gens qui souhaitent passer un très bon moment dans le stade."
L’accueil du public
"On a essayé d’avoir un travail de segmentation. Un stade se remplit de gens différents, avec des moyens et des envies différents. On a créé des espaces où les gens ont envie de vivre l’évènement entre eux. Il y a des zones destinées aux étudiants, d’autres aux familles, aux comités d’entreprise. Et à partir de là , vous avez des animations beaucoup plus ciblées qui sont possibles. Plutôt que de vendre des glaces à la framboise à des étudiants, on sait qu’on va avoir davantage de familles dans ces zones et que ça va être beaucoup plus facile de leur proposer des services adaptés."
L’adaptation du rapport américain (plus d'infos ici)
"Le Stade Malherbe a décidé de s’appuyer à 99% sur ces recommandations pour remplir son stade. Ça passe par une approche tarifaire accessible, par le fait de fournir des services complémentaires. On voit aujourd’hui des villages, des fans zones autour des stades, pour faire venir les familles et les enfants avant les matchs. Ça passe aussi par des offres couplées sur plusieurs matchs, y compris sur des matchs intéressants. On avait toujours tendance à packager une affiche avec un match peut-être moins attractif.
On se rend compte aujourd’hui qu’on se fixe des objectifs peut-être plus ciblés, plus ambitieux, mais déjà de remplir trois, quatre, sept matchs dans l’année. On a aussi mis en place un système où l’abonnement est transmissible. On s’est rendu compte que des personnes supplémentaires venaient avec cet abonnement et également en famille. On a un taux de no-show qui est passé de 10-12% à 3% parce que les tribunes sont occupées."
Un travail à poursuivre
"Il ne faut pas toujours se cantonner à dire : « Venez voir un match, notre équipe va gagner ». J’ai envie de dire aujourd’hui : « Venez voir un match, vous allez passer un bon moment ». A l’avenir, il va falloir qu’on progresse encore au Stade Malherbe pour compléter ces prestations, y compris auprès du grand public. Pouvoir venir et avoir son café prêt, son sandwich prêt… Il faut aussi que le grand public appréhende ces nouveaux services. Jusqu’à maintenant, on arrive au stade, on n’a droit qu’à un siège, on arrive cinq minutes avant et on repart cinq minutes après."
rmcsport
Ligue 1 : Comment remplir les stades ? A Montpellier, on lutte contre des gros défauts
23/10/2016 Ã 09h02
Comment remplir les stades de Ligue 1 ? Episode 3. Avec un taux de remplissage de seulement 39% cette saison, Montpellier est l’un des cancres de la Ligue 1. Jean-Christophe Rouvière, coordinateur développement du club, nous explique les raisons des difficultés montpelliéraines à faire venir les spectateurs et à garnir les travées d’un stade de La Mosson trop grand (28 600 places).
La stratégie du club
"Le Montpellier Hérault a bien conscience que l’affluence est assez faible par rapport à la capacité de son stade. Le plus gros problème, c’est la grandeur de notre stade, trop surdimensionné par rapport à notre capacité de public. On a travaillé déjà sur le transport en mettant en place trois lignes de bus qui permettent, en partant de Pézenas, Agde et Mauguio, de récupérer nos spectateurs, supporters et clients pour les amener au plus près du stade. On cherche aussi à récupérer des zones de parking autour du stade de La Mosson. Et cette année, on a mis en place un pack trois matchs avec Marseille, Paris et Bordeaux, pour valoriser ces grosses affiches."
L’accueil du public
"Il est certain que les nouveaux stades construits pour l’Euro ont un avantage indéniable par rapport aux recommandations qui ont pu être faites. Ils ont un nombre très important de zones d’accueil pour leur public. Nous, malheureusement, au stade de La Mosson, nous n’avons pas toutes ces zones. Nous cherchons à en récupérer pour accueillir notre public, en amenant des services différents, mais les zones, on ne peut pas les fabriquer. On ne les a pas sous la main. Ce sont des choses que nous ne pouvons pas mettre en place aujourd’hui. On s’attache à la venue des spectateurs, en essayant de l’améliorer."
L’adaptation du rapport américain (plus d'infos ici)
"Les Américains ont une autre culture. Il va falloir s’adapter, avec leurs idées, les spécificités de chaque club, chaque région. Ce qui est important, c’est le spectacle et ce qu’on peut trouver autour pour que les personnes qui viennent voir un match de football passent une bonne après-midi ou une bonne soirée. La LFP a mis en place des formations et des séminaires pour expliquer à tous les clubs les paramètres et les directions à suivre pour améliorer leurs taux de remplissage. C’est ce que nous faisons depuis quelques semaines, voire quelques mois. On est très sensible à ce qu’ils peuvent nous dire pour améliorer la réception de nos spectateurs."
Un travail à poursuivre
"Ce n’est pas que ça agace, mais le taux de remplissage est faible parce que le stade est beaucoup trop grand. On doit s’améliorer sur la réception de notre public. Le club et les dirigeants le savent et essayent de mettre en place des choses. On sait qu’on a beaucoup de travail. C’est ce qui est très intéressant. Il faut se rendre compte que les clubs travaillent. Montpellier commence à faire du travail sur la réception de ses spectateurs. On est au début d’un travail. On peut passer un bon moment au stade de La Mosson, même si on n’a pas toutes les activités des autres stades."
rmcsport
hervébien a écrit:fabol22 a écrit:ça me fait penser à une chanson des fatals picards (hasta xxl) qui se moque des gars qui achètent tout et n'importe quoi à l'effigie du Che !
Putain mais t'es une salope de pédophile Maintenant je vais te traquer, immonde violeur d'enfants!! Et je vais te fister au pushka 7.62, après on verra si t'as encore envie de te taper des gosses. Sale merde de névropathe!!!
benoit62 a écrit:hervébien a écrit:fabol22 a écrit:ça me fait penser à une chanson des fatals picards (hasta xxl) qui se moque des gars qui achètent tout et n'importe quoi à l'effigie du Che !
Putain mais t'es une salope de pédophile Maintenant je vais te traquer, immonde violeur d'enfants!! Et je vais te fister au pushka 7.62, après on verra si t'as encore envie de te taper des gosses. Sale merde de névropathe!!!
C'est toi qui ose lui faire un procès ? Regarde ce que tu as dit sur d'autre topic , à bon entendeur !!!
anti-trollyonnais a écrit:Aïe Aïe Aïe, ça va de mal en pis pour les pauvres lyonnais, encore une énième défaite face à l'ogre guingampais!
Le club phare du foot business à la française est renvoyé à ses chères études par le petit poucet breton, porte drapeau du football des champs
Mais le plus grave, c'est que tout se passe dans un FIDUCIAL PARK encore bien vide. Cette fois c'est sûr l'effet nouveau stade a vécu, les affluences lyonnaises vont vite baisser, baisseront-elles aussi vite que ne le fera le FC Lyon dans le classement de L1??
J'ai hâte de voir les beaux sièges bleus blancs et rouges laissés vides en plein mois de novembre par les pseudos supporters des futurs 14eme de Ligue 1
Un véritable camouflet pour tous les gnafrons de ce forum qui bombaient le torses et raillaient les fiascos des autres nouveaux stades de Bordeaux, Lille, Marseille, Nice....finalement cette petite ville de la banlieue de Saint-Etienne ne vaut pas mieux que les autres
anti-trollyonnais a écrit:Mais le plus grave, c'est que tout se passe dans un FIDUCIAL PARK encore bien vide.
TopGone a écrit:anti-trollyonnais a écrit:Mais le plus grave, c'est que tout se passe dans un FIDUCIAL PARK encore bien vide.
Lyon - Guingamp hier, 39184 spectateurs, ce qui vaut un Gerland à guichet fermé...
2e affluence de la journée derrière le PSG vs OM de ce soir. Voili, voilou les rageuses...
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