Elsasser a écrit:Sa vraie photo c'est celle ci :
Arrêtez de lui répondre.
Ouep, j'ai une bonne touche sur cette photo. Au contraire de ta tronche de plumeau tête de fiotte prête à se faire emmencher pour 1500 euros par mois. C'est à ça qu'on reconnaît le parasite à piercing et tatouage mahori de bureau, bien veule qui se chie dessus au moindre haussement de voix de son manager (souvent femme d'ailleurs).
Mais je t'en veux pas, tu as choisi ta vie d'asservissement pour un salaire de misère et face à une hiérarchie vaginocratique qui t'écrase comme la vieille merde dévirilisée que tu es devenue.
Le parasite sociale à virilité sérigraphiée à l'encre de mauvaise qualité dessinée par un albanais né au milieu de la mer Egée et donc semi apatride, ou « grosse merde » , se décline sous tellement de formes que je vais me concentrer sur les principales caractéristiques qui te détermine pour te dresser le prtrait le portrait.
D’aspect sale et désagréable tu parle fort et te fait remarquer dans la salle d’attente du médecin ou tout lui sera remboursé, parfois présent dans les concerts de métal ou plus largement dans les raves-party, on remarque de suite ton rire primitif et tes vociférations animales quand tu es bien rôtis à l’alcool leader price de mauvaise qualité !
En ville, tu traîne dans tout les endroits gratuits ou sur les bancs vernis de pisse au lieu de te défoncer à gagner du pouvoir d’achat pour t’offrir, pourquoi pas, une douche et de l’eau de Cologne (la propreté des vrais ouvriers!) Mais non, la grosse merde de parasite que tu es se complet dans la crasse ! Pas par choix mais surtout par lâcheté, la lâcheté de se mouiller, la lâcheté de se confronter à la dureté de la vie en trouvant un putain de boulot de bonhomme !
La lâcheté d’accoster autre chose que les gonzesses en centre pour mongoliens que tu baise contre un orangina et une histoire rigolote, la lâcheté de vivre debout au lieu de te coucher comme des pucelles à l’ombre des institutions d’assistanat de merde pour les sous races de lâches du travail qui préfèrent toucher leur RSA que se la coller dur comme manutentionnaires ou comme manœuvres sur un putain de chantier bien virile avec des kabyles aphones et des maliens de 60 kilos qui portent huit fois leur poids en parpaings à côté de ta demi-heure de souffrance à te faire tatouer un poême chinetoque pour avoie l'air d'un guerrier.
Des mecs comme toi, qui affichent des photos de demi-fiottes pour faire semblant de dénigrer les vrais hommes, je les connais par coeur; ça jaquete, ça minaude, ça fait le paon, mais avec un revers de gifle avec 2 doigts, je te renvoies à ta vie qui ne vaut pas plus que celle de mouloud du foyer sonacotra de mendiant avant de prendre la confiance parce que tu t'es inventé une vie fantasmée de vrai street credible.
Pauvre guignol.