martoni a écrit:Si le match se déroule samedi soir au lieu de dimanche 14h, le club perd 1,5 M€ de droits Tv...On comprend mieux pourquoi ces connards de dirigeants ne bronchent pas...
On préfère massacrer l'adieu au Parc Lescure pour amasser son petit million...le fric domine le monde...
Bap a écrit:Les Girondins sont à la lutte avec Saint-Etienne tout proche de les dépasser au classement de la notoriété. Cela se jouerait à un petit point, soit ce que rapporterait une diffusion du… dimanche à 14 heures, par rapport à un match du samedi à 20 heures.
En 2013-2014, les Girondins ont touché 11 millions d'euros pour leur quatrième place au classement de la notoriété (sur un total de 32 m€ de droits TV perçus par le club). S'ils reculaient d'un rang à la fin du mois prochain, ils perdraient - toujours selon le barème de la saison dernière - près de 1,5 m€.
GUIGS007 a écrit:Comment ça 1.5 millions d'euros de perdu ? tu crois vraiment que bordeaux va perdre cette somme si le club est diffuser le samedi a 20h au lieu du dimanche à 14h ? C'est des conneries...
meons a écrit:Bap a écrit:Les Girondins sont à la lutte avec Saint-Etienne tout proche de les dépasser au classement de la notoriété. Cela se jouerait à un petit point, soit ce que rapporterait une diffusion du… dimanche à 14 heures, par rapport à un match du samedi à 20 heures.
En 2013-2014, les Girondins ont touché 11 millions d'euros pour leur quatrième place au classement de la notoriété (sur un total de 32 m€ de droits TV perçus par le club). S'ils reculaient d'un rang à la fin du mois prochain, ils perdraient - toujours selon le barème de la saison dernière - près de 1,5 m€.
La raison serait donc là . Ne pas jouer ce match à 14h ferait passer les girondins 5° à ce classement. Tordu comme truc!
fritefritefrite a écrit:meons a écrit:Bap a écrit:Les Girondins sont à la lutte avec Saint-Etienne tout proche de les dépasser au classement de la notoriété. Cela se jouerait à un petit point, soit ce que rapporterait une diffusion du… dimanche à 14 heures, par rapport à un match du samedi à 20 heures.
En 2013-2014, les Girondins ont touché 11 millions d'euros pour leur quatrième place au classement de la notoriété (sur un total de 32 m€ de droits TV perçus par le club). S'ils reculaient d'un rang à la fin du mois prochain, ils perdraient - toujours selon le barème de la saison dernière - près de 1,5 m€.
La raison serait donc là . Ne pas jouer ce match à 14h ferait passer les girondins 5° à ce classement. Tordu comme truc!
Ca serait une explication possible mais je ne sais pas comment on peut connaitre le détail du calcul et surtout le calcul pour l'année en cours.
meons a écrit:oui ça me paraît bizarre aussi. Surtout que d'après le site de la LFP on ne serait que 6° de ce classement et Bordeaux 4° sur la saison dernière.
http://www.lfp.fr/corporate/article/la- ... 3-2014.htm
Les grandes heures de Chaban, épisode 1
Samedi contre Nantes, les Girondins de Bordeaux vont disputer leur dernier match dans leur antre de Chaban-Delmas. L'occasion pour francefootball.fr de revenir sur cinq rencontres qui ont marqué l'histoire de ce stade. Aujourd'hui, l'inauguration en 1938 pour un match entre le Brésil et la Tchécoslovaquie.
12 juin 1938, Brésil-Tchécoslovaquie : une inauguration musclée
Voulue par le maire de l’époque Adrien Maquet, l’enceinte bordelaise a été conçue pour accueillir des matches de la Coupe du monde 1938. Dans ce tournoi qui se joue selon une formule à élimination directe, deux rencontres, un quart de finale et la finale pour la troisième place, sont initialement prévues dans ce qui se nomme alors le stade Municipal. Finalement, il y en aura trois, avec à chaque fois le Brésil. Le 12 juin 1938, pour l’inauguration, si les 19 000 spectateurs découvrent ce bâtiment, sa large esplanade le ceinturant et ses fresques antiques, ils n’ont d’yeux que pour la sélection sud-américaine et son attaquant vedette Leonidas, surnommé le Diamant noir ou l’Homme élastique. Déjà en huitièmes de finale, à Strasbourg, le joueur de Flamengo a sauvé la Seleçao face à la Pologne (6-5 a.p.) en inscrivant trois buts dont celui de la victoire après avoir ôté ses chaussures. Les Brésiliens, en cet fin d’après-midi-là , retrouvent le finaliste malheureux de l’édition précédente, la Tchécoslovaquie. Cette rencontre entre deux formations au jeu réputé léché tourne pourtant très rapidement à la foire d’empoigne.
Trois expulsés, cinq blessés
Les deux capitaines : Martim (à gauche) pour le Brésil et Planicka pour la Tchécoslovaquie. (L'Equipe)
L’arbitre, le Hongrois Pal von Hertzka, expulse deux Brésiliens, Zézé (14e) et Machado (89e), un Tchécoslovaque, Riha (89e). Planicka, le gardien pragois, disputera toute la partie avec le bras droit cassé. Quant à Nejedly, son coéquipier, cheville brisée, il ne rejouera plus jamais... Et le jeu de massacre ne s’arrête pas là ! Dans ce match que les observateurs ont appelé «la Bataille de Bordeaux», Kostalek, le défenseur tchécoslovaque, Leonidas et Peracio, les attaquants brésiliens doivent quitter la pelouse avant la fin de la prolongation. Au final, un but partout, le penalty de Nejedly (65e) répondant au but de Leonidas (30e).
Ce quart de finale se rejoue deux jours plus tard, toujours à Bordeaux. Cette fois, les Sud-Américains, avec neuf joueurs frais, contre cinq pour les Européens, l'emportent 2-1 avec un nouveau but de Leonidas, qui, malheureusement, se blesse. Laissé au repos par son sélectionneur Adhemar Pimenta pour la demi-finale contre l’Italie à Marseille le 16 juin, il voit des tribunes ses coéquipiers s’incliner (2-1). Il se console néanmoins le 19 juin en trouvant à deux reprises le chemin des filets lors du match pour la troisième place face à la Suède (4-2) disputée à Bordeaux. Deux réussites qui lui permettent de finir meilleur buteur de l’épreuve avec sept réalisations.
Laurent Crocis
Le 12 juin 1938, à Bordeaux (stade Municipal), Brésil-Tchécoslovaquie : 1-1 a.p. (1-0, 1-1). Spectateurs : 19 000. Arbitre : M. Von Hertzka (HON). But : Leonidas (30e) pour le Brésil ; Nejedly (65e s.p.) pour la Tchécoslovaquie. Expulsions : Zézé (14e) et Machado (89e) pour le Brésil ; Riha (89e) pour la Tchécoslovaquie.
Brésil : Walter - Domingos da Guia, Machado - Zézé, Martim (c), Afonsinho - Lopes, Romeu, Leonidas, Peracio, Hercules. Entr. : Adhemar Pimenta.
Tchécoslovaquie : Planicka (c) - Burgr, Daucik - Kostalek, Boucek, Kopecky - Riha, Simunek, Ludl, Nejedly, Puc. Entr. : Josef Meissner.
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