bobbyno69 a écrit:ok a voir.....je file chez l'ophtalmo.....
Je t'avoue que lorsque j'ai regardé ta photo, j'ai vraiment douté!
bobbyno69 a écrit:ok a voir.....je file chez l'ophtalmo.....
Chericleon a écrit:bobbyno69 a écrit:ok a voir.....je file chez l'ophtalmo.....
Je t'avoue que lorsque j'ai regardé ta photo, j'ai vraiment douté!
Mercivelodrome2014 a écrit:Maintenant, cela ne veut absolument pas dire que cette volonté de re-financement ne sera pas un jour agréée par le pool bancaire.
Mais quelque part, l'envisager avant même d'inaugurer le Stade alors que l'on fait des prévisions de recettes plus que conséquentes, 50m€ pas moins dès la 1ere année, montre le degré d'incertitude dans lequel on se trouve.
Les Min perm représentent les dettes contractées pour une période initiale plutôt court –moyen terme, et quoiqu’il arrive largement inférieure à la durée de vie du contrat. L’objectif est de pouvoir refinancer cette dette court-moyen terme dans des conditions optimisées une fois que les risques de construction et les risques liés au démarrage de l’exploitation ont été absorbés.
Dans la formule de la hard mini perm, si le refinancement ne peut pas avoir lieu à la date de maturité initiale, le remboursement des dettes initiales est obligatoire. Si la société de projet ne peut pas honorer ce remboursement, le projet peut tomber en déchéance car les prêteurs ne se sont pas engagés sur l’extension des dettes initiales.
Dans la formule de la soft mini perm, si le refinancement ne peut pas avoir lieu à la date de maturité initiale (10 ans dans le cas de SEA), la société
de projet n’est pas dans l’obligation de rembourser la totalité de la dette. Les prêteurs se sont préalablement engagés à étendre les maturités de leurs dettes initiales à des conditions plus onéreuses (step up) afin que le projet ne tombe pas en déchéance. Dans ce cas, toutes les recettes du projet sont affectées au remboursement des dettes (cash sweep). Le full cash sweep correspond au cas où toutes les tranches de dettes bénéficient des recettes générées par le projet, les actionnaires étant privés de toute rémunération. Il joue pour les prêteurs un rôle (partiel) de substitut aux mécanismes de rehaussement de crédit et de garantie.
Dans ces mécanismes de mini perms le concessionnaire porte un risque de refinancement plus élevé. La couverture de ce risque requiert davantage de fonds propres. Elle nécessite également de définir un partage de risque de refinancement entre le concédant et le titulaire du PPP. Le contrat de concession SEA fait porter sur le concessionnaire le risque d’un surcoût financier, que les actionnaires maîtrisent en partie dans la mesure où ils peuvent choisir la date du refinancement. Le contrat prévoit, à l’inverse, un partage des gains éventuels au refinancement, sur la base de 2/3 pour le concessionnaire, 1/3 pour le concédant.
bobbyno69 a écrit:Chericleon a écrit:bobbyno69 a écrit:ok a voir.....je file chez l'ophtalmo.....
Je t'avoue que lorsque j'ai regardé ta photo, j'ai vraiment douté!
si vous voulez vous faire un avis regardez la vidéo du mag à 7'46"
Watson a écrit:Mercivelodrome2014 a écrit:Maintenant, cela ne veut absolument pas dire que cette volonté de re-financement ne sera pas un jour agréée par le pool bancaire.
Mais quelque part, l'envisager avant même d'inaugurer le Stade alors que l'on fait des prévisions de recettes plus que conséquentes, 50m€ pas moins dès la 1ere année, montre le degré d'incertitude dans lequel on se trouve.
C'est normal d'envisager le refinancement de ce prêt "mini-perm" puisque c'est la base même ce type d'emprunt. Ce refinancement n'est pas obligatoire mais toujours envisagé si accord avec les prêteurs.
J'ai trouvé quelques infos en Français sur le mini-permLes Min perm représentent les dettes contractées pour une période initiale plutôt court –moyen terme, et quoiqu’il arrive largement inférieure à la durée de vie du contrat. L’objectif est de pouvoir refinancer cette dette court-moyen terme dans des conditions optimisées une fois que les risques de construction et les risques liés au démarrage de l’exploitation ont été absorbés.
Dans la formule de la hard mini perm, si le refinancement ne peut pas avoir lieu à la date de maturité initiale, le remboursement des dettes initiales est obligatoire. Si la société de projet ne peut pas honorer ce remboursement, le projet peut tomber en déchéance car les prêteurs ne se sont pas engagés sur l’extension des dettes initiales.
Dans la formule de la soft mini perm, si le refinancement ne peut pas avoir lieu à la date de maturité initiale (10 ans dans le cas de SEA), la société
de projet n’est pas dans l’obligation de rembourser la totalité de la dette. Les prêteurs se sont préalablement engagés à étendre les maturités de leurs dettes initiales à des conditions plus onéreuses (step up) afin que le projet ne tombe pas en déchéance. Dans ce cas, toutes les recettes du projet sont affectées au remboursement des dettes (cash sweep). Le full cash sweep correspond au cas où toutes les tranches de dettes bénéficient des recettes générées par le projet, les actionnaires étant privés de toute rémunération. Il joue pour les prêteurs un rôle (partiel) de substitut aux mécanismes de rehaussement de crédit et de garantie.
Dans ces mécanismes de mini perms le concessionnaire porte un risque de refinancement plus élevé. La couverture de ce risque requiert davantage de fonds propres. Elle nécessite également de définir un partage de risque de refinancement entre le concédant et le titulaire du PPP. Le contrat de concession SEA fait porter sur le concessionnaire le risque d’un surcoût financier, que les actionnaires maîtrisent en partie dans la mesure où ils peuvent choisir la date du refinancement. Le contrat prévoit, à l’inverse, un partage des gains éventuels au refinancement, sur la base de 2/3 pour le concessionnaire, 1/3 pour le concédant.
http://www.developpement-durable.gouv.f ... e_no22.pdf
Wolf69 a écrit:Certes, et c'est un tres bon argument. Sauf que, en ne se focalisant que sur le cout, on en oublie la partie la plus importante, dans le fait de posséder son propre stade: la marge de manoeuvre que l'on a et la capacité a multiplier les canaux de revenus.
Ni le LOSC, ni Lille, ni Bordeaux (dans une moindre mesure, puisque je crois savoir que le club a participé financierement a la contruction du stade) n'ont cette flexibilité. Ex: le LOSC ne touche rien lorsque le stade accueuille concerts, congres, salons, etc. 'Fin je suis pas non plus expert en stades, mais c'est pas difficile a comprendre, de voir la diférence entre une chose que tu possedes et une chose que tu ne possedes pas. Et ce, d'un point de vue purement économique et comptable, c'est énorme. Pour le reste, je me fie au cerveau d'entrepreneur et de comptable d'Aulas pour les trouver, ces revenus.
En fin de compte, c'est la meme chose: les sceptiques versus ceux qui ne le sont pas, voila tout..
Et j'oubliais, en terme de couts, les clubs qui ne possedent pas leur stade sont aussi a la merci de la collectivité et/ou du conglomérat immobilier qui a construit le stade qui peuvent faire varier les taux a leur guise (suffit de voir ce qui s'est passé a Marseille).
marty650 a écrit:C'est vrai qu'en ce moment y'a plus de pseudo-conseillés financiers que de photos de l'avancement du stade
En même temps c'est vrai qu'Aulas n'y connait strictement rien en business, si seulement il avait connu figoress avant...
Ryuji a écrit:marty650 a écrit:C'est vrai qu'en ce moment y'a plus de pseudo-conseillés financiers que de photos de l'avancement du stade
En même temps c'est vrai qu'Aulas n'y connait strictement rien en business, si seulement il avait connu figoress avant...
Si c'était vraiment le cas, ça se saurait, et puis, ils n'ont cas intégrer un club de football et faire part de leurs "connaissances économiques" à ces dirigeants de club, et essayer de faire mentir Aulas, sur ce mode de financement.
Watson a écrit:Ryuji a écrit:marty650 a écrit:C'est vrai qu'en ce moment y'a plus de pseudo-conseillés financiers que de photos de l'avancement du stade
En même temps c'est vrai qu'Aulas n'y connait strictement rien en business, si seulement il avait connu figoress avant...
Si c'était vraiment le cas, ça se saurait, et puis, ils n'ont cas intégrer un club de football et faire part de leurs "connaissances économiques" à ces dirigeants de club, et essayer de faire mentir Aulas, sur ce mode de financement.
Ne remettant pas en cause le projet dont je souhaite la réussite mais argumentant sur le plan de financement du projet, je me sens quand même concerné.
En ce qui concerne mes connaissances, mes études m'ont amené à étudier la comptabilité et à l'analyse financière des comptes de résultats.
Pour le stade, je n'y connais strictement rien dans le domaine du BTP donc je ne suis que l'évolution du chantier et les informations données ici.
Donc quand on parle du financement du stade, je me permet d'intervenir soit pour confirmer ou infirmer certains propos (que je maîtrise). Je donne très peu d'avis personnel mais quand Aulas donne les informations qui l'arrange, doit-on être de simple béni-oui-oui ?
Bien sur que des entreprises spécialisées ont étudié le dossier pour Aulas, bien sur qu'ils ont validé le dossier comme les prêteurs, bien sur qu'ils savent ce qu'ils font mais vous croyez qu'il n'y a pas de pages dans ce dossier qui pointent les limites et les risques du projet ? Alors évidemment, Aulas est là pour vanter et promouvoir son projet mais ce n'est pas une raison pour ne pas le faire.
Exemple : quand Aulas parle de 4 Millions de visiteurs pour OL Land (pour mesure de grandeur c'est autant que le centre Pompidou à Paris), vous ne trouvez pas le chiffre exagéré ? Moi, si.
L'OL avec 25 rencontres par an et 50 000 spectateurs de moyenne permettrait d'avoir un taux de 30 % pour cet objectif.
Les équipes de France (foot et rugby) passent le plus gros de leur temps à Paris, les concerts dans les stades sont peu nombreux.
Même si le stade permet d'atteindre 50 % de cet objectif. Je doute que le reste des activités permettent de faire venir 2 millions de visiteurs supplémentaires ...
Mercivelodrome2014 a écrit:Un sage Wait & See semble devoir être de mise.
Un exemple ? JMA annonce dans le même article que 30% des loges seraient vendues, cela n'a pas beaucoup progressé en trois mois ...
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