Pas facile a poser les sièges:
source: http://instagram.com/gordie_bell?modal=true
Daemond14 a écrit:Ah! On connait les sièges du stade de Lyon?Bap a écrit:D'ailleurs, ce sont des adeptes d'Instagram. Comme j'ai compris qu'ils s'occuperont aussi des sièges de l'OL, ça sera intéressant de les suivre à nouveau quand la pose des sièges y débutera.
neorip69 a écrit:Daemond14 a écrit:Ah! On connait les sièges du stade de Lyon?Bap a écrit:D'ailleurs, ce sont des adeptes d'Instagram. Comme j'ai compris qu'ils s'occuperont aussi des sièges de l'OL, ça sera intéressant de les suivre à nouveau quand la pose des sièges y débutera.
Y a des infos ou c'est une vanne suite aux topic precedent
Re_Pier a écrit:L'engazonnement aura lieu la semaine prochaine (pas de placage - très bon choix).
Substrat radicalé Airfibr
Re_Pier a écrit:L'engazonnement aura lieu la semaine prochaine (pas de placage - très bon choix).
Substrat radicalé Airfibr
Daemond14 a écrit:Pas facile a poser les sièges:
source: http://instagram.com/gordie_bell?modal=true
neorip69 a écrit:Gazon hybride alors?
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Des agronomes, des botanistes et même des biologistes se sont penchés sur le projet "AirFibr" qui permet à la pelouse d'être bien enracinée (grâce aux racines s'enroulant autour de quelques 150 milliards de microfibres) dans un substrat de synthèse révolutionnaire nommé Radicalé (R). Compris entre le gazon donc et la nouvelle couche drainante, type geotextile, ce substrat de 15 cm est une sorte de millefeuille qui tire sa subtilité de sa composition constituée de trois éléments : des granulés de liège, l'élément assouplissant et imputrescible, qui s'écrase et se regonfle après avoir rejeté l'air contenu, des microfibres synthétiques, éco-conçues à partir du recyclage de bouteilles en plastique, dans lesquelles les racines vont venir s'y ancrer, lui conférant une exceptionnelle résistance et du micro sable, du type de celui dont on se sert pour concevoir le verre, assurant un sol non abrasif et non boueux, puisqu'il n'y a plus de terre, ce qui, entre autres, évite les lombrics susceptibles de nuire à l'enracinement du gazon.
L'entreprise familiale "Natural Grass" du fondateur Bertrand Picard, 34 ans, n'en est pas à son premier coup d'essai. Avant la pelouse du stade de l'Aube, elle avait déjà fait ses preuves auparavant avec l'hippodrome de Fontainebleau, avec le cimetière de Normandie, avec la toiture terrasse du musée Marie de Nazareth en Israël ou avec la réfection de la zone engazonnée la plus difficile d'entretien du golf de Saint-Cloud !
Des économies conséquentes
Le principal atout de cette nouvelle pelouse sera la planimétrie. Les études effectuées dessus montrent une bonne résistance à l'arrachement par tous les temps et des risques de blessure inférieurs de 20 à 40% par rapport aux autres surfaces. Sa durée de vie, estimée à une vingtaine d'années, deux fois plus que la norme, est accompagnée d'un entretien et d'une maintenance beaucoup plus faible ! Fini les rencontres annulées à cause des intempéries, les fastidieuses poses (et déposes) de bâches, les litres à n'en plus finir de fioul engloutis pour chauffer une aire qui, chauffage et bâche retirés, gèlera de nouveau tout au long de la durée du match.
C'est l'une des principales différences avec le GrassMaster du Belgo-Néerlandais Desso, le géant du secteur depuis le début des années 1990 et concurrent numéro un de "Natural Grass". On lui doit les pelouses d'Arsenal et Manchester City en Angleterre, de Schalke 04 en Allemagne, de Nantes (2001) et du Havre (2012) en France. Si celle du club de Loire-Atlantique est une référence en France, on ne peut pas en dire autant de celle des Normands, qui s'est rapidement dégradée. "Le procédé consiste à injecter sur un terrain naturel des millions de fibres synthétiques pour en renforcer la stabilité, la résistance et le drainage. Avec le GrassMaster, il n'y a cependant pas de replacage partiel sur les parties abîmées", martèle Bernard Serin.
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