Enfin autre chose que du béton !
Merci pour les photos, vous gérez !
wonderful gone a écrit:marty650 a écrit:Pour info:
je viens de passer à coté du chantier et, du coté ouest, il y a déjà des gradins de complètement posés sur le troisième anneau sur environ 3 à 4 crémaillères de large.
Salut,
je suis aussi passé à côté du stade aujourd'hui et j'ai constater la même chose !!
Aulas a prévu une catastrophe pour financer le Grande Stade
Publié Jeudi 09 Octobre 2014 à 12:17 Dans : Lyon, Ligue 1.
L’Olympique Lyonnais est le seul club français à avoir décidé de financer en totalité son futur stade, Jean-Michel Aulas ayant fait ce pari pour l’avenir de son club. Mais le président de l’OL a bataillé durement pour réussir à monter son dossier, et face à lui il n’a pas eu que des opposants écologistes ou politiques. En effet, Jean-Michel Aulas a eu besoin du soutien des banques afin de financer une partie des 450ME du coût total de ce Grand Stade dont l’inauguration doit intervenir début 2016 à quelques mois de l’Euro en France. Et, selon Les Echos, pour donner leur accord, les établissements financiers, qui ne prêtent pas plusieurs centaines millions d’euros sans une étude stricte, ont tout simplement exigé du patron de l’Olympique Lyonnais de présenter un plan de financement « fondé sur un scénario de présence de l’OL en…Ligue 2 pendant trois ans ». Jean-Michel Aulas s’est exécuté et visiblement il a convaincu les banques, puisque ces dernières ont donné le feu vert. Il est cependant évident que l’Olympique Lyonnais n’envisage pas un tel scénario catastrophe, le club rhodanien ayant l’intention de rentabiliser son Grand Stade en 15 ou 20 ans selon le quotidien économique.
foot01.com
En France, les clubs de football ne détiennent pas leur stade
DENIS FAINSILBER / CHEF DE SERVICE ADJOINT | LE 08/10 À 15:40
Au Parc des Princes « new look », c’est le PSG et surtout son riche actionnaire qatari qui ont réalisé récemment les investissements de modernisation. - Miguel Medina/AFP1
Contrairement aux grands clubs européens, en France, les équipes évoluant en Ligue 1 ne sont pas propriétaires de leur outil de production. Une situation qui les prive de recettes potentielles, à l’heure où les droits télévisés comme les subventions municipales sont en baisse.
Signe de la très grande fragilité du football français : les clubs de Ligue 1 ne sont pas parties prenantes, en règle générale, dans la construction et la gestion de leurs nouvelles enceintes sportives, et se contentent d’un simple rôle de locataire. « En France, les clubs ne gèrent pas l’infrastructure, tandis que si l’on examine les 20 plus grands clubs européens, 18 sont à ce jour propriétaires de leur stade ! Ce sont des sociétés privées qui ont envie d’exploiter leur outil de travail », déplore Thierry Braillard, le secrétaire d’Etat aux Sports. Le système des partenariats public-privé (PPP) plus en cour dans l’Hexagone exclut de facto les clubs, qui ne peuvent prétendre toucher leur part sur les recettes de billetterie, sur le montant des parkings ou sur les ventes de produits dérivés. Autant d’argent qui pourrait logiquement leur permettre de rivaliser, sur le marché des transferts des joueurs, avec les plus grandes écuries européennes.
La LFP reste neutre
De même, dans un rapport d’octobre 2013, deux sénateurs, Jean-Marc Todeschini et Dominique Bailly, s’étonnaient de ce schéma des PPP qui tend à « l’absence de responsabilisation des clubs, vis-à -vis de leur équipement sur le long terme. Le club n’est généralement pas partie prenante du projet, n’ayant pas son mot à dire sur des aménagements dont il a pourtant vocation à être le premier utilisateur ». Sans intéressement sur l’exploitation de son stade, une équipe ne peut guère peser sur les relations entre l’agglomération et le consortium privé qui va en assurer la construction et l’exploitation pendant trois décennies. On est donc bien loin des montages retenus en Grande-Bretagne, avec l’Emirates Stadium de Londres, propriété d’Arsenal, à Barcelone avec la gestion du Camp Nou, ou à Munich avec l’Allianz Arena, l’antre du Bayern.
Prudents, les représentants du football professionnel se satisfont du curieux système français, qui juxtapose des PPP, des baux emphytéotiques administratifs (BEA), des concessions classiques, ou des délégations de service public (DSP). « Ce qui compte pour le football, c’est que les stades soient construits ou rénovés, indique aux « Echos » Frédéric Thiriez, le président de la Ligne de football professionnel. S’agissant des modalités, soit financières, soit juridiques (...) c’est aux collectivités locales et aux clubs de décider du modèle le plus approprié en fonction du contexte régional. La Ligue n’a pas à prendre parti dans un dossier juridico-financier car nous ne sommes pas maîtres d’ouvrage. »
Lyon sera seul maître à bord
Des contre-exemples, pourtant, existent, et tiennent lieu de modèle à Thierry Braillard : au Parc des Princes « new look », c’est le PSG et surtout son riche actionnaire qatari qui ont réalisé récemment les investissements de modernisation (loges, reconfiguration de tribunes, etc.) pendant que la Ville, à la recherche d’économies, coupait sa subvention. Disposant d’une convention d’occupation du domaine public, le PSG verse un loyer au Maire de Paris. Plus audacieux, le montage retenu à Lyon, pour le futur stades des Lumières, actuellement en pleins travaux à l’est de l’agglomération. Projet entièrement financé sur fonds privés, une première en France. Au total, l’OL a investi 450 millions d’euros, dont 150 millions de fonds propres, dans son nouveau stade qu’il espère rentabiliser sur quinze à vingt ans, selon son président Jean-Michel Aulas. A partir de l’hiver 2016, le club sera maître chez lui, comme Arsenal ou le Bayern, et avec tous les produits dérivés de la future zone commerciale, « l’OL Land », espère encaisser des revenus annuels de 70 millions par an.
Un shéma éloigné des habitudes françaises
Thierry Braillard, élu lyonnais étiqueté PRG, voit là un cercle vertueux. « C’est une nouvelle façon de voir le spectacle sportif, à l’instar de l’évolution des grandes surfaces, qui se sont transformées en pôles de loisirs et de commerce. Le principe est que plus on reste au stade, et plus on va dépenser d’argent », estime le ministre. Pour lui, Lyon est bien le premier à opter pour un schéma moderne, bien loin des habitudes françaises qui étaient plutôt de « laisser gérer les infrastructures par le maire du coin », avec pour credo qu’en cas de coup dur, « c’est l’argent public qui finance ». Un élément fait tache, toutefois, dans le business plan des Gones : pendant que grues et bulldozers se sont emparés des terres agricoles de Décines, c’est la première fois depuis 1997 que l’Olympique Lyonnais a manqué le rendez-vous des coupes d’Europe cette saison. Un coup dur financier en perspective si cela devait se reproduire. Néanmoins, on ne pourra pas accuser l’Olympique Lyonnais d’avoir charmé les milieux financiers avec des plans aveuglément optimistes : les banques auprès desquelles Jean-Michel Aulas a contracté des emprunts lui ont demandé « de leur fournir un plan de financement fondé sur un scénario de présence de l’OL en Ligue 2 pendant trois ans », révèle un rapport sénatorial. Même si le pire n’est jamais sûr, en matière sportive, on n’est jamais trop prudent.
lesechos.fr
alexandre52 a écrit:je voudrai savoir quel que jose moi qui travaille dans une Usine qui fait des poteaux des éclairage pour les tramway , ce du stade ex-que il sant déjà fait sinon sa pouré aitre mon Usine
greg59 a écrit:Le petit journal de Canal+ en parle du stade de Lyon, assez critique envers l'expropriations du fermier / éleveur :
http://www.canalplus.fr/c-divertissemen ... rance.html
marty650 a écrit:ça doit être celle qui est au plus près des gradins les plus avancés
alexandre52 a écrit:je voudrai savoir quel que jose moi qui travaille dans une Usine qui fait des poteaux des éclairage pour les tramway , ce du stade ex-que il sant déjà fait sinon sa pouré aitre mon Usine
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