guiand33 a écrit:je ne m'y connais pas du tout en pelouse, mais je sais qu'il y a un nom particulier pour ce type de pelouse
Une pelouse hybride
guiand33 a écrit:je ne m'y connais pas du tout en pelouse, mais je sais qu'il y a un nom particulier pour ce type de pelouse
Watson a écrit:guiand33 a écrit:je ne m'y connais pas du tout en pelouse, mais je sais qu'il y a un nom particulier pour ce type de pelouse
Une pelouse hybride
guiand33 a écrit:manu du 42 a écrit:Salut !
Je pense que la question a déjà du avoir trouvé réponse précédemment , mais pourriez vous me dire ce que va devenir le stade, une fois le nouveau terminé ?
des matches de féminines ? de jeunes ? des concert ? une destruction ?
Merci !
Son avenir reste flou encore. Au départ Mr Juppé avait lancer un appel à idée pour sa reconversion (une reconversion non sportive). Des voix se sont élevés pour que le stade garde sa vocation sportive et une association de riverains a même était créée. Du coup Mr Juppé s'est ravisé souhaite garder le stade dans sa vocation sportive (athlétisme, notamment). Entre temps, Mr Marti (Président de l'Union Bordeaux Bègles) s'est prononcé pour Chaban quand les Girondins auront migrer au nouveau stade alors que Mr Mamère (Maire de Bègles) souhaite lui que l'UBB reste à Moga avec un agrandissement de celui-ci à 18 000 places (9 000 places aujourd'hui il le semble). Le hic, c'est que pour l'instant, le financement est très très loin d'être bouclé pour la rénovation de Moga (Coût estimé de 30 millions d'Euros) et celà reste encore qu'un projet en étude.
Par ailleurs, le stade Chaban sera mis à la disposition entière de l'UBB pour les saisons 2015-2016 et 2016-2017, pendant l'hypothétique rénovation de Moga. Après 2017, l'avenir de Chaban s'inscrit en très gros pointillés ...
Clem1733 a écrit:Une pelouse hybride, connue pour être moins traumatogène et plus souple et peut durer 3x plus de temps qu'une pelouse "normale", çà a été déjà posé dans un stade, pour la première fois en France, récemment, dans le stade de l'ESTAC (Troyes), http://www.dessosports.com/fr/gazon-hybride, un site pour plus vous aidez quand il y en a qui dise que les pelouses en Premier League, c'est grâce au climat, et bien non
cout de cette opération, pas loin du million d'euro tout de même
manu du 42 a écrit:Salut !
Je pense que la question a déjà du avoir trouvé réponse précédemment , mais pourriez vous me dire ce que va devenir le stade, une fois le nouveau terminé ?
des matches de féminines ? de jeunes ? des concert ? une destruction ?
Merci !
Myrelingues a écrit:manu du 42 a écrit:Salut !
Je pense que la question a déjà du avoir trouvé réponse précédemment , mais pourriez vous me dire ce que va devenir le stade, une fois le nouveau terminé ?
des matches de féminines ? de jeunes ? des concert ? une destruction ?
Merci !
La logique serait d'accueillir l'équipe de rugby locale, comme à Lyon.
guiand33 a écrit:Myrelingues a écrit:manu du 42 a écrit:Salut !
Je pense que la question a déjà du avoir trouvé réponse précédemment , mais pourriez vous me dire ce que va devenir le stade, une fois le nouveau terminé ?
des matches de féminines ? de jeunes ? des concert ? une destruction ?
Merci !
La logique serait d'accueillir l'équipe de rugby locale, comme à Lyon.
Oui dans la logique ce serait le mieux. Dans la logique seulement .... Le maire de Bègles souhaite à tout prix garder "son" équipe à Bègles malheureusement. C'est le seul qui empêche vraiment que cela se fasse.
phil76 a écrit:Oui enfin le maire de Bègles il est gentil mais s'il veut garder son club à Bègles, ce serait pas mal d'au moins mettre un coup de pinceau au stade.
Je veux pas être méchant mais à la télé ça fait vraiment pitié.
En plus l'UBB, ils ne sont pas décroché des 6, ça joue bien, Beauxis arrive cet été, bref, faudrait que ça suive un peu niveau stade.
Bordeaux : le stade Chaban-Delmas n'a pas les moyens de s'offrir la luminothérapie
La pelouse du stade Chaban-Delmas, mise à mal par la répétition des matches et impraticable pour la venue de Lorient dimanche, sera-t-elle en mesure d'accueillir toute les rencontres prévues à son programme ? Les Girondins jouant à Reims samedi, elle bénéficie d'un peu de répit, avant la venue d'Evian prévue le 22 février. Mais ensuite, il faudra supporter le match de rugby de l'UBB contre Clermont le 1er mars à 15 heures, puis l'affiche de Canal+ le dimanche 9 mars, entre Bordeaux et Lyon. Cela inquiète toutes les parties et notamment Jean-Louis Triaud qui préférerait que l'UBB accueille Clermont ailleurs.
Coincée entre deux feux, la municipalité s'efforce de tout faire pour respecter son agenda. A ce sujet, Frédéric Gil, le responsable des Sports de la Mairie de Bordeaux, a tenu à mettre les choses au point face aux critiques qui mettent en cause le savoir-faire des jardiniers français, contre leurs homologues anglais. Lesquels proposent toujours des pelouses impeccables, alors que la pluviométrie est bien plus importante de l'autre côté de la Manche qu'en France.
"Il y a une problématique de mise en œuvre des moyens, explique-t-il. Les pelouses anglaises sont toutes chauffées et bénéficient toutes de la luminothérapie. Ce sont des lampes sur rails que l'on rentre sur la pelouse et qui au prix d'une consommation énergétique colossale font croire à la pelouse que c'est toute l'année le printemps. Forcément, elles se régénèrent car elles sont en situations végétative toute l'année."
Pourquoi dès lors, n'applique-t-on pas ces méthodes aux pelouses françaises ? "C'est aussi lié au modèle économique du football anglais où les clubs sont propriétaires de leur stade. Eux-mêmes investissent des moyens que nous avec une gestion de type public financée par le contribuable bordelais, on n'est pas prêt à consentir. On n'est pas que des ânes, contrairement à ce que dit Pierre Ménès sur Canal+. Il y a des outils que l'on n'utilise pas."
Sauf au Parc des princes où, depuis l'arrivée de Jonathan Calderwood, l'ancien jardinier d'Aston Villa, le PSG joue sur un véritable billard. "L'Anglais fait la différence grâce aux méthodes qu'il a importés et aux moyens qu'on lui a donnés pour le faire."
Par ailleurs, les responsables bordelais sont tributaires de "l'agenda 21", qu'ils ont signé et qui les oblige à respecter des protocoles écologiques. "Nous avons une pelouse écologique parce que l'on utilise zéro phyto. Cela pose des contraintes. A des moments où il faudrait doper chimiquement la pelouse, nous on s'interdit de le faire..."
http://www.sudouest.fr/2014/02/10/borde ... 47-766.php
manu du 42 a écrit:D'accord.
Et puis j'ai trouvé cet article :
" L’avenir du Stade Jacques Chaban-Delmas semblait scellé. Après la livraison du Grand Stade de Bordeaux, l’ancien stade devait s’écrouler pour laisser place à des logements. Mais voilà , l'Association des riverains du quartier Ornano-Gaviniès, où il est situé, souhaiterait le conserver. Dans les colonnes de Sud-Ouest, son président, Henri Blaise explique leur action : « C'est un monument historique remarquable. Nous souhaitons qu'il soit conservé et qu'il garde sa vocation sportive. C'est le souhait des 60 membres de l'association. La démarche auprès de la ministre de la Culture a été votée à l'unanimité. » La demande est partie à Paris il y a quelques semaines. Pour le moment, pas de réponse.
On connaît, depuis quelques années, les associations de riverains qui tentent d’annuler les constructions de nouveaux stades comme à Grenoble, Valenciennes, Bordeaux ou Paris Jean-Bouin. Maintenant, la situation inverse a lieu. Et c’est tout à leur honneur. Il est même étonnant, qu’à l’annonce d’une probable destruction du Stade Jacques-Chaban-Delmas, il n’y ait pas eu plus de contestation. Il possède un passé aussi riche que le Stade de Gerland (Lyon), le Stade Vélodrome (Marseille) ou encore le Stadium de Toulouse. Le Stade Chaban-Delmas, c’est 75 ans d’histoire du sport local, national et international. C’est à lui tout seul, 9 matches de Coupe du Monde de football, 3 matches de l’équipe de France, 1 098 matches de Ligue 1, 86 matches de Coupes d’Europe (dont 25 de C1 et 1 finale de C3), 6 matches de Coupe du Monde de rugby, 8 matches du XV de France, 11 finales de Championnat de France de rugby, mais aussi 27 arrivées d’étape du Tour de France. Durant toute son existence, sa morphologie n’a pas bougé. Seule la piste vélodrome a été remplacée par des gradins. Alors, comme ça, oui, le Stade Jacques-Chaban-Delmas doit rester debout, témoigner du passé, mais aussi, pourquoi pas, rendre service à l’équipe réserve du FCG Bordeaux ou même, aux rugbymen de l’U Bègles-Bordeaux, n’en déplaise à Noël Mamère…
Michel Mospinek"
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