yannig74 a écrit:Watson a écrit:Me suis amusé à regarder cette vidéo.
Et j'ai noté une info qu'il ne me semble pas avoir vu ici.
La Conseil Général de l'Essonne se porte caution sur la totalité de l'emprunt de la FFR soit 400 M d'€.
En même temps, c'est pas étonnant! par contre cela implique une fédération, c'est à dire l'équipe nationale, ce qui garanti quand même des événements, pas comme Le Mans ou Grenoble (Je vois pas l'EDF de rugby être exclu tournoi des 6 nations) qui avaient des clubs en élites et maintenant en amateurs!
j'ajoute que je vois bien les deux clubs parisiens délocalisé quelques une de leurs grosses rencontres dans ce stade! (le stade français l'eu fait au SDF...)
yannig74 a écrit:quelqu'un à -t-il vu le débat en entier?
car mis à part le mec d'opposition, je n'entend personne parlé du fait que l'essone cautionne l'emprunt sur sa totalité... et comme il y a souvent une part d'intox dans ce genre de procédé...
Le stade Français le faisait plus ou moins régulièrement (Toulouse, Racing, Clermont, Toulon) quand ils étaient dans l'ancien Jean Bouin (9.200 places) ou à Charlety. Maintenant qu'ils ont le nouveau Jean Bouin, seul le match contre Toulouse est prévu pour être délocalisé cette saison.yannig74 a écrit:j'ajoute que je vois bien les deux clubs parisiens délocalisé quelques une de leurs grosses rencontres dans ce stade! (le stade français l'eu fait au SDF...)
WWA a écrit:Le PSG s'est renseigné sur le stade, preuve qu'il pourrait y avoir quelques matches de délocalisé. Je pense également à des rencontres de Football américain.....
Marshall_ a écrit:WWA a écrit:Le PSG s'est renseigné sur le stade, preuve qu'il pourrait y avoir quelques matches de délocalisé. Je pense également à des rencontres de Football américain.....
Sachant que le PSG ne veut pas aller au stade de France car le club trouve que ce n'est pas un stade de foot, et qu'ils ont débauché le meilleur jardinier de stade d'Europe pour offrir un billard aux 11 joueurs parisiens, je les vois mal délocaliser un match dans un stade de rugby à 35km de chez eux, et jouer sur une pelouse de rugby.
Surtout quand on sait qu'ils ont acquis un bail de 30 ans pour faire ce qu'ils veulent du parc, qui payerait la location d'un stade alors que tu es quasi-propriétaire d'un autre stade ?
Greenfloyd a écrit:tu veux dire que l'argent entre en considération pour le Qatar Saint Germain ?
et c'est quoi le problème pour eux de délocaliser? tu penses que l'identité du club est importante à leurs yeux? comme leur blason non?
yannig74 a écrit:j'ajoute que je vois bien les deux clubs parisiens délocalisé quelques une de leurs grosses rencontres dans ce stade! (le stade français l'eu fait au SDF...)
Le Racing-Métro renonce au Stade de France
Ce dimanche, le club du Racing Métro a annoncé qu'il avait décidé de ne plus délocaliser son match du 29 décembre au Stade de France contre Toulon, annonçant ne plus avoir sa place dans cette enceinte "réservée aux grandes équipes". Une annonce qui fait suite au lourd revers samedi en H Cup contre les Harlequins (8-32). Le Racing jouera à Colombes.
Le communiqué du club: «Au vu du résultat contre les Harlequins samedi, force est de constater que nous ne faisons pas partie des « grands ». Le Stade de France étant réservé aux grandes équipes, nous n’y avons donc pas notre place.
Aussi le Racing Metro 92 a décidé d’annuler le match contre Toulon qui devait s’y dérouler le 29 décembre, pour le jouer à Colombes, notre enceinte historique, où nous souhaitons nous ressourcer.»
Derrière les beaux principes, la billetterie ne décolle pas
La déclaration d'intention concerne le domaine sportive, mais la réalité est sans aucun doute plus pragmatique. Le Racing-Métro 92 n'attire pas les foules et, à tout juste trois semaines de la rencontre, seulement dix mille places ont été vendues. Dans ces conditions, pour une telle affiche, le Stade de France n'aurait pas affiché complet.
Pour mémoire, le derby parisien face aux Stade Français, organisé par le Racing-Métro, au Stade de France (10e journée) avait déjà été marqué par une très faible mobilisation des supporteurs (seulement 31 000 sièges occupés).
http://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/ ... sdf/423384
Marshall_ a écrit:Greenfloyd a écrit:tu veux dire que l'argent entre en considération pour le Qatar Saint Germain ?
et c'est quoi le problème pour eux de délocaliser? tu penses que l'identité du club est importante à leurs yeux? comme leur blason non?
Qu'est ce que tu me racontes sérieux ? Identité du club, blason, mais rien à voir avec ce que je dis ! Tu crois vraiment que le PSG, qui se fabrique une image galactique, va délocaliser des matchs sur un champ de patate qu'est un stade de rugby ?
Si vraiment le PSG devait délocaliser des matchs en 2018 (oui on parle de 2018 vu que ce stade de la FFR ne sera pas opérationnel avant !), entre le stade de France, stade de foot aux portes de Paris (oui car pour le Qatar, ce qui compte dans le PSG, c'est PARIS au cas où tu l'aurais pas compris, avec une pelouse typée foot, et le stade d'Evry, stade de rugby à 30 bornes de Paris avec pelouse adaptée pour le rugby, ils iraient dans le second stade ?
La FFR accélère sur le projet du Grand Stade
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Par Guillaume Errard
Mis à jour le 31/01/2014 à 17:21
Publié le 31/01/2014 à 10:00
La Fédération de rugby lance ce vendredi un emprunt obligataire pour financer le coût de l'enceinte.
Les réflexions autour du projet du Grand Stade de rugby à Évry (Essonne) accélèrent à l'approche de l'ouverture du Tournoi des six nations. Jusqu'à la fin du mois de février, de nombreux débats publics sont organisés, au cours desquels une commission désignée par la Fédération française de rugby (FFR) explique son projet. Puis la commission rendra son rapport avant la fin avril.
Les porteurs du dossier au sein de la fédération auront ensuite trois mois pour prendre leur décision de le poursuivre, de le modifier ou de l'abandonner. Si tout va bien, les travaux du stade devraient démarrer au deuxième semestre de cette année et se terminer à la fin de 2018. «Techniquement, c'est possible», affirme-t-on à la Fédération.
Ce vendredi, la FFR va même lancer un emprunt obligataire auprès des entreprises et des particuliers pour financer le quart (150 millions) du prix de la construction du Grand Stade, estimé à quelque 600 millions d'euros. À titre de comparaison, le Stade de France a coûté un peu plus de 320 millions. Les banques devraient prêter à la fédération 400 millions, et la Fédération apportera 50 millions. Chaque titre obligataire offrira, pendant quinze ans, le droit d'acquérir en priorité une place pour les matchs des Bleus, quel que soit le stade où ils évoluent (en France). En étant propriétaire de son enceinte, la FFR pourrait mieux maîtriser l'agenda sportif des rencontres du XV de France et bénéficier totalement des ressources financières générées par les événements qu'elle accueille.
Naming: la FFR espère au moins 5 millions par an
Grâce aux matchs des Bleus disputés chaque année (entre 5 et 6 rencontres, plus la finale du championnat de France), ainsi qu'à une dizaine de concerts et de spectacles, la FFR espère dégager un bénéfice de 10 millions d'euros par an. Elle envisage également de vendre le nom de son stade à une société, à l'image de l'enceinte qui accueille les rencontres du XV irlandais, l'Aviva Stadium. L'assureur britannique verse chaque année 4 millions de livres (près de 5 millions d'euros) à la fédération irlandaise. Un montant que la FFR espère retirer au minimum.
De quoi se construire un trésor de guerre, à l'image de la fédération anglaise, propriétaire du stade de Twickenham, ce qui est impossible, selon la FFR, en restant au Stade de France. Certes, avec la nouvelle convention signée avec le consortium du SDF, le coût de la location de l'enceinte dyonisienne a diminué d'un peu moins d'un million, mais il s'élève encore à quelque 2 millions par match.
Reste à savoir si les banques suivront la fédération française pour financer ce projet ambitieux mais coûteux. Le succès de l'emprunt obligataire constituera également un premier indice sur la popularité du Grand Stade.
Souscrire à l'emprunt obligataire de la FFR, ce n'est vraiment pas une obligation...
Par Ludivine Szado pour VotreArgent.fr, publié le 31/01/2014 à 17:49
La Fédération française de rugby lance ce vendredi un appel à souscription pour un emprunt obligataire. Les supporters de l'Equipe de France de rugby y trouveront peut-être leur compte... Pas les amateurs de produits financiers aux rendements alléchants.
REUTERS
La Fédération française de rugby lance ce vendredi un appel à souscription pour un emprunt obligataire d'un total de 4,99 millions d'euros. Son but, financer les travaux d'investissement de restructuration de l'hébergement sportif du Centre national de rugby (4,3 millions d'euros pour l'année 2014), les travaux d'amélioration des équipements sportifs et les études de faisabilité du Grand Stade. Un premier test avant le lancement du projet de construction du Grand Stade à Ris-Orangis.
Comme ce fut déjà le cas outre-Manche pour le nouveau Twickenham et le Millennium de Cardiff, la Fédération entend utiliser ce type d'emprunt pour financer la nouvelle antre du rugby français : un stade de 82.000 places disposant, entre autres, d'une pelouse amovible et d'un toit rétractable. Un projet d'environ 600 millions d'euros.
Pas de rémunération
Sont proposées jusqu'au 21 février, 499 obligations d'une valeur de 10.000 euros chacune. Les passionnés de rugby pourraient y voir l'occasion de participer au financement de leur sport. Un moyen, comme l'explique Christian Garnier, trésorier de la Fédération française de rugby, " de supporter le XV de France et le développement du rugby français ".
Et ce sera essentiellement cela car d'un point du vue financier, cet emprunt s'avère peu attractif. Les obligations venant à échéance en 2064 ne portent pas d'intérêt. Pas de rémunération donc. Vous bloquez 10.000 euros pendant 50 ans. La contrepartie pour les futurs porteurs : la possibilité non pas pendant toute la durée de l'emprunt mais seulement pendant 15 ans de " pouvoir acheter une place, à sa valeur faciale et sans décote ", et ce " pour certains matches joués par le XV de France à domicile et pour la finale du TOP 14 ". Encore faudra-t-il acheter ces places.
Les obligations seront émises le 1er avril, mais les porteurs de ces obligations pourront exercer leur droit dès le match France-Irlande du Tournoi des six nations, le 15 mars.
A l'expiration de la période de ce droit d'achat, les porteurs détiendront une obligation ne donnant droit qu'au remboursement à l'échéance, soit au bout de... 35 ans, sauf remboursement anticipé.
Un test finalement bien moins alléchant que le France-Angleterre de samedi soir...
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