clausewitz a écrit:Comme je crois dans la majorité des clubs de L1, les installations appartiennent à la ville (si un brestois peut confirmer ou l'infirmer).
Et après, on se demande pourquoi notre championnat est en retard de 20 ans ...
clausewitz a écrit:Comme je crois dans la majorité des clubs de L1, les installations appartiennent à la ville (si un brestois peut confirmer ou l'infirmer).
Watson a écrit:clausewitz a écrit:Comme je crois dans la majorité des clubs de L1, les installations appartiennent à la ville (si un brestois peut confirmer ou l'infirmer).
Et après, on se demande pourquoi notre championnat est en retard de 20 ans ...
Pour la première fois, cette saison 2013-2014 désignera son champion des pelouses naturelles de L1 et de L2, annonce la LFP, vendredi. «Les capitaines, les entraîneurs et l'arbitre évalueront» leur qualité à chaque rencontre selon plusieurs critères.
Réservé aux gazons naturels de Ligue 1 (exit Lorient donc) et de Ligue 2 (sans Nancy ni Châteauroux, qui évoluent également sur synthétique), ce Championnat des pelouses désignera son vainqueur à partir d'une notation moyenne établie pour chaque rencontre par les acteurs du match eux-mêmes. Trois classements intermédiaires seront publiés avant le palmarès final, à l'issue de la saison.
Dans le détail, «les capitaines des équipes, les entraîneurs et l’arbitre de la rencontre évalueront les pelouses selon cinq critères (notés chacun sur 5, ndlr). Ils jugeront la trajectoire du ballon, la souplesse du terrain, la qualité des appuis et la qualité du tapis végétal auxquelles ils ajouteront une note d’appréciation globale.»
En L1, le réalisateur TV du match sera associé au classement. «Il prendra en compte les aspects visuels, la couleur de la pelouse, le comportement du ballon et celui des joueurs, auxquels il ajoutera une note d’appréciation globale.»
CmOnStadeLePlusBo a écrit:ça commence bien, faire un classement en excluant 2 équipes déjÃ
Ligue 1: Polémique à Saint-Etienne après le report du match contre Evian
Le match de Championnat de France de football entre Saint-Etienne et Evian-TG a été reporté samedi à une date encore indéterminée, la pelouse du stade Geoffroy-Guichard étant en partie gelée. La rencontre, comptant pour la 17e journée de Ligue 1, devait débuter à 20h00. Le terrain avait été bâché et des petites souffleuses mises en action par les membres des services techniques de Saint-Etienne Metropole depuis 13h00 pour essayer de rendre le terrain praticable.
L'arbitre, Amaury Delerue, a motivé sa décision par l'impossibilité, selon lui, d'assurer l'intégrité physique des joueurs selon des propos rapportés par la chaîne TV BeInSport. «Dans la mesure où Saint-Etienne Metropole est dans l'incapacité de bâcher le terrain et de mettre en place un véritable système de soufflerie et avec les températures très froides attendues dans la nuit, il a été décidé de ne pas jouer dimanche», a déclaré Michel Lebrun, le délégué principal.
Sur l'absence de système de chauffage de la pelouse, lLe président de l'AS Saint-Etienne, Roland Romeyer, s'est justifié par les travaux dans le stade pour l'Euro-2016. «C'est compliqué. Le stade est en travaux. La Ville consulte pour faire chauffer la pelouse quand tout sera terminé mais elle ne voulait pas faire de frais tant que tout n'est pas fini», a expliqué Roland Romeyer, soulignant que Saint-Etienne est l'une des villes les plus hautes d'Europe (environ 500 m).
Par ailleurs, Saint-Etienne Métropole ne veut plus engager de budget pour chauffer le terrain sous la bâche pour des raisons politiques, des voix s'étant élevées pour contester les dépenses engagées. C'est donc le club qui a payé pour le chauffage de la pelouse hier.
De son côté, le président de l'Evian-Thonon, Patrick Trotignon s'est étonné de l'incapacité de mettre la pelouse en état. «Vous savez les efforts que nous faisons au Parc des Sports d'Annecy pour que le terrain soit toujours en très bon état. Nous bâchons, nous chauffons. Contre le PSG le match était à 21H00 avec des températures polaires. Je trouve dommage que les moyens n'aient pas été mis en oeuvre pour que cette rencontre soit jouée au moins demain», a dit le dirigeant de l'ETG. En effet, le stéphanois n'ont pas prévu de ressortir la bâche chauffante après l'annonce du report.
http://www.20minutes.fr/sport/football/ ... ntre-evian
Après 2 journées de Ligue 1, la LFP a publié le fameux championnat des pelouses de Ligue 1. Ce classement est effectué via des notes données par les capitaines des équipes, les arbitres mais aussi les diffuseurs. Sont pris en compte le rendu visuel mais aussi, bien évidement, l’état de l’aire de jeu.
1- Saint-Etienne : 19,3 points
2- Nantes : 19,2
3- Montpellier : 18,92
4- Paris : 18,88
5- Monaco : 18,1
6- Metz : 18
7- Lens : 17,7
8- Lille : 17,1
9- Caen : 16,5
10- Evian : 16,3
11- Bordeaux : 15,9
12- Reims : 15,7
13- Bastia 14,9
14- Guingamp : 13,2
15- Lyon : 13,2
16- Nice : 12,8
17- Marseille : 11,2
18- Rennes : 10,8
19- Toulouse : 8,9
Pelouse. En Avant le solarium avec Sparfel
À 72 h du choc d'Europa League entre l'En Avant de Guingamp et la Fiorentina, la pelouse copieusement arrosée du Roudourou s'est offert, hier, une petite séance de solarium aussi inédite que bienvenue.
À l'ombre de la tribune présidentielle où siégera, jeudi, Michel Platini, un engin de 13 mètres de long par 7 mètres de large a lentement déployé ses ailes d'aluminium. Et à la vitesse de l'escargot (deux mètres par heure), ce drôle de satellite a couvé la pelouse et donné au cinquième gazon français (selon le classement de la Ligue de football professionnel) un bain de soleil pas vraiment de saison.
Facture d'électricité divisée par six «
Les lampes du photosynthétiseur - des micro-leds - produisent une luminosité deux fois supérieure à un ensoleillement d'été sans nuage. Cette lumière, associée à la chaleur et au gaz carbonique que diffuse la machine au ras du sol, optimise la photosynthèse, et donc la croissance de la pelouse », sourit Clément Fréreux, ingénieur en charge du développement chez Sparfel.
Spécialiste des pelouses sportives et des espaces verts (*), l'entreprise basée à Ploudaniel (29) planche sur ce prototype « depuis trois ans », rapporte Jean-Claude Sparfel, fondateur devenu conseiller technique. « La luminothérapie existe déjà dans les stades pros équipés de lampes statiques au sodium. Mais avec notre procédé mobile nous divisons la facture d'électricité par six ! En outre, le photosynthétiseur qui peut travailler 24 h/24 sans assistance, assèche moins les pelouses », détaille l'homme de l'art qui avec Clément Fréreux s'est adjoint le précieux concours des scientifiques de l'INRA, de la station biologique de Roscoff et du CARAH, en Belgique, pour optimiser spectre lumineux, température et CO2 diffusés par la machine.
Actionnée par écran tactile (ou via une application développée pour smartphone), se déplaçant comme un robot-aspirateur sur le tapis d'un salon, la bête de quatre tonnes a réchauffé hier ses premiers m² de ray-grass sous l'oeil de son futur pilote, Manu Bessong, ancien pro reconverti dans l'entretien du Roudourou.
300.000 € pièce
Passées les phases de tests prévues jusqu'en avril 2015, la société Sparfel entend commercialiser l'appareil fabriqué à Plouigneau (chez B2MH, 29) à l'international. À l'échelle hexagonale, les clubs de L1 et L2 seront ses cibles prioritaires.
Pour être dans le match, il en coûtera aux ténors du foot 300.000 € pièce. Un engin qui abolit les saisons (côté météo) mais qui n'en demanderait que sept (au plan sportif) pour être amorti.
* En charge du stade d'En Avant, Sparfel (90 salariés, 11 M€ de CA) assure aussi, entre autres, l'entretien de l'INF de Clairefontaine (78).
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