tic a écrit:Toujours pas convaincu de l’utilité de ce stade. Pour le rentabiliser cela forcera la FFR à y organiser tout ces matchs, même les petites affiches, ce qui risque de lasser le publique parisien à force alors que les délocalisations en province sont toujours un succès même pour un France-Roumanie !
La fédé ferait mieux d’allouer cette somme à un dédommagement plus important des clubs pour la sélection des joueurs en EDF. Ce qui permettra de les garder plus longtemps à Marcoussis pour les préserver physiquement et travailler le jeu !
Tous les investissements sont risqués. La FFR n'a pas la certitude de reussir son pari. Cependant elle a semble-til fait des études de faisabilité qui confirme le potentiel fianncier d'une telle construction. Mais ils peuvent se tromper. Avec le SDF, on disait que ce serait un fiasco avec l'absence de clubs residents et la présence du Parc des princes à qqes kms.
Il y avait beaucoup de scepticisme. 15 ans plus tard, le SDF est une énorme réussite, comme quoi, on ne peut pas savoir.
Sinon un peu d'infos sur les sites candidats Le Plessis-paté sexy le nom !
Un nouveau venu dans la course au Grand Stade
Hier, Le Plessis-Pâté a annoncé sa candidature pour obtenir le stade de 80 000 places que veut bâtir la Fédération de rugby. Ris-Orangis et Massy sont aussi sur les rangs.
Quelle ville accueillera en 2017 les matchs de l’équipe de France de rugby ? Trois communes essonniennes sont candidates... Zoom
Les militaires vont-ils êtres remplacés par des… rugbymen? Hier, la ville du Plessis-Pâté et l’agglomération du Val d’Orge ont annoncé leur candidature pour accueillir le futur Grand Stade de 80000 places que la Fédération française de rugby (FFR) projette de construire d’ici à 2017 pour ne plus être dépendante du Stade de France.
Le site proposé ? Une partie des terrains que l’armée abandonnera l’an prochain avec la fermeture de la base aérienne de Brétigny. « On propose 205 ha, soit cinq fois ce qu’il faut pour un stade, et ça peut être encore plus : on a 500 ha disponibles, appuie Olivier Léonhardt, président PS du Val d’Orge. Il n’y a pas de site équivalent dans le secteur. »
Dans cette course au Grand Stade, Le Plessis-Pâté est la dernière collectivité essonnienne à avoir répondu à l’appel à candidatures de la FFR, qui vient de se clore. Deux autres dossiers ont été déposés dans le département, à Massy et sur le site de l’ex-hippodrome de Ris-Bondoufle, situé dans l’agglomération d’Evry. Les trois candidats essonniens devront faire face à une dizaine d’autres postulants. Objectif : recevoir le 31 mai le cahier des charges de la FFR. Ce sera le ticket d’entrée pour l’étape suivante : ficeler un dossier avant le 16 juillet. Une décision finale est attendue pour la fin de l’année.
La FFR a son siège dans l’Essonne
Cependant, pour les huiles de la Fédé, les candidatures made in 91 auront une saveur particulière : c’est dans l’Essonne, au Centre national de rugby de Linas-Marcoussis, que les joueurs du XV de France s’entraînent depuis 2002. La FFR vient d’y déménager son siège. « L’Essonne est légitime, estime Jérôme Guedj, président PS du conseil général. Ce serait un équipement structurant et synonyme de développement économique. » En effet, en plus des matchs de rugby (dont ceux des Bleus), le futur site — s’il voit le jour — accueillera d’autres grandes affiches (concerts, spectacles…) et pourrait inciter des activités (loisirs, commerces, hôtels…) à s’implanter autour. « Le stade aurait aussi un effet de levier pour obtenir le financement de transports », observent les candidats.
En attendant, les villes fourbissent leurs armes. A Massy, on insiste sur la culture rugbystique de la commune et sur le fait que le stade s’inscrirait « dans une logique de dynamisme urbain », commente Vincent Delahaye, le maire (radical valoisien). A Ris, on essaie de transformer un handicap (le manque de transport) en atout : le maire PS Thierry Mandon a dans ses tiroirs un projet de téléphérique qui relierait la gare RER au stade : « Un formidable outil qui ne coûterait que 1 à 2 M€. » Quant au Plessis, en plus du gigantisme du site, c’est l’absence de voisin direct et de tracas administrativo-financiers (la mairie sera seule propriétaire du terrain dès 2012) qui sont mis en avant. Le match peut commencer…
Le Parisien
http://www.leparisien.fr/essonne-91/un- ... 463929.php