http://grandstaderugby.fr/attente/
site en attente du choix de l'architecte du stade FFR ....
Grand Stade: Report du vote sur le choix de l'architecte
La FFR a annoncé ce lundi, via un communiqué, qu'elle allait reporter son vote concernant le choix de l'architecte du futur Grand Stade. En effet, elle veut se donner le temps et prolonger la phase de questions-réponses, "afin de mener les clarifications techniques et financières complémentaires nécessaires au choix final".
Initialement prévu à l’occasion du Comité Directeur du 19 décembre 2012, le vote est reporté à début 2013, à une date qui n'est pas définie pour le moment.
"Les dossiers rendus par les groupements de conception sont tous les trois de grande qualité, mais aussi techniques et complexes. Une prolongation de la phase de clarification avec les architectes est donc nécessaire pour faire le meilleur choix possible entre trois dossiers proches les uns des autres. Cela n’aura pas d’impact sur le calendrier global du projet", a souligné Serge Blanco, membre du Comité Directeur en charge du projet Grand Stade.
johan26 a écrit:Ça serait sympa si on arrive a obtenir les différents projets pour nous tenir en haleine parce que ça commence a peser ce mystère :/
Apres est ce que la FFR a les moyens de faire construire un stade dans de bonnes durées ? Quand je vois la longueur pour construire les stades de Rugby d'Ile de France je me pose des questions..
Celui là serait dans un endroit où il n'y a pas de ville , alors peut etre qu'en 2-3 ans c'est monté non ? Combien ont pris de temps la Construction des derniers stades de forte capacité ? Tel que l'Emirates Stadium et
Allianz Arena ? Ou encore le Stade de france , le Stade Olympique de Londres , et le Millenium Stadium ?
Les bonnes fondations du grand stade de rugby
Le sol de l’ex-hippodrome de Ris-Orangis vient d’être sondé jusqu’à 30 m de profondeur. Les conclusions ne remettent pas en cause le projet.
Julien Heyligen | Publié le 22.01.2013, 05h21
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Site de l’ancien hippodrome d’Evry - Ris-Orangis, la semaine dernière. Pour savoir si le sol est apte à supporter un stade de 80000 places et une dalle de béton de 14 ha, des sondages ont été réalisés jusqu’à 30m de profondeur.
Site de l’ancien hippodrome d’Evry - Ris-Orangis, la semaine dernière. Pour savoir si le sol est apte à supporter un stade de 80000 places et une dalle de béton de 14 ha, des sondages ont été réalisés jusqu’à 30m de profondeur. | (DR.)
Le grand stade de rugby ne connaîtra pas un destin digne de la tour de Pise. Le sol de la future enceinte sportive, prévue sur le site de l’ancien hippodrome d’Evry - Ris-Orangis, se révèle apte à la construction. La Fédération française de rugby (FFR) doit recevoir aujourd’hui un rapport rassurant après des sondages effectués jusqu’à 30 m de profondeur ces dernières semaines.
Une étape importante dans un projet au long cours.
Un sol apte à accueillir un tel équipement. Les trois architectes en compétition, dont le vainqueur sera désigné le 8 février, sont tous partis sur des hypothèses de type de fondations différentes. « Nous avions récupéré quelques relevés datant de la construction de l’hippodrome et des données géologiques de l’Ile-de-France, mais ce n’était pas suffisant. Après vérifications, le sol correspond à ce que nous attendions », explique-t-on à la FFR. Il s’agit pour le terrain de supporter un stade de 80 000 places et une dalle de béton de 14 ha. A titre de comparaison, le poids du Stade de France est estimé à 500 000 t. Le report de l’annonce du choix de l’architecte en décembre s’explique en partie pour ces précisions nécessaires. « Nous avons reçu leurs projets fin novembre. Par rapport au nombre de questions à poser, notre délai était trop juste », reconnaît la FFR.
Des coûts réduits grâce au remblai ? Les études sur la qualité du remblai sont attendues dans les prochains jours. « C’est une ancienne forêt. Il ne devrait pas y avoir de?problèmes. Si nous pouvons réutiliser la terre que nous allons extraire du sol, les coûts seront réduits », avance la FFR. L’éventuelle découverte d’une nécropole gallo-romaine ou d’un gisement de silex pourrait retarder le début des travaux. La FFR souhaite donc lancer dès que possible les études archéologiques du sol. Idem pour la faune et la flore, dont le relevé est déjà en cours. Concernant le terrain, la communauté d’agglomération Evry Centre Essonne doit conclure l’achat en mars.
L’enveloppe budgétaire (pour l’instant) est respectée. La FFR avait prévu un coût de 600 M€ pour son stade, des études à la construction. « Pour l’instant, nous sommes dans les clous. C’était assez simple, tout ne dépend que de nous pour l’instant », résume la FFR, qui avait consulté des économistes de la construction avant de se lancer dans l’aventure. Le montage bancaire sera validé en 2014. Une date cruciale. « A partir de là , impossible de faire machine arrière, le grand stress commence. Les intérêts tombent et les délais deviennent importants à respecter car chaque mois coûte de l’argent », confie la FFR. Une fois le stade réalisé, la fédération devra ensuite étoffer ses effectifs d’une centaine de personnes.
Le choix du constructeur. La compétition pour désigner l’entreprise chargée de l’édification du grand stade devrait démarrer en septembre et durer un an. « Il y aura moins de candidats que pour la désignation de l’architecte. Il n’y a pas 50 groupes capables d’assurer un chantier d’une telle ampleur en France », avance la FFR. Le chantier pourrait ainsi démarrer en 2015 pour une livraison espérée fin 2017. « Nous n’avons pas le couteau sous la gorge. Nous ne sommes pas cotés en Bourse, le Tournoi (des Cinq, puis des Six Nations) existe depuis un siècle… Si les offres des banques ne sont pas satisfaisantes, nous attendrons un contexte plus favorable », ajoute la FFR. L’échéance ultime pour le grand stade est fixée à 2023. Date à laquelle la France est candidate à l’organisation de la Coupe du monde de rugby.
Le Parisien
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La pelouse sera visible des buvettes
J.H. | Publié le 22.01.2013, 05h21
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Si, selon le vice-président de la Fédération française de rugby, Serge Blanco, deux projets d’architecte sur les trois encore en compétition se détachent, impossible de connaître pour l’instant le nom du vainqueur. Il sera dévoilé le 8 février. Le coût du projet ne sera pas l’élément le plus déterminant dans le choix de la Fédération française de rugby (FFR).
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« Nous allons privilégier la qualité et le confort à l’intérieur de l’enceinte. Car ce qui va financer, faire vivre le site et consommer, c’est le public, annonce la FFR. Il ne faut pas se tromper. Nous devons rattraper notre retard sur les autres grandes nations du rugby. »
Quatre écrans géants
Quelques indications permettent de dévoiler des esquisses de l’enceinte. La FFR promet quatre écrans géants, pour diffuser des ralentis, des faits de jeu et, bien sûr, des publicités. « Les spectateurs pourront aller boire un coup à la buvette et continuer à voir la pelouse, sans aller dans les coursives », avance la FFR. L’objectif est que, dans tous les cas, le public soit proche du terrain. Il n’y aura donc pas de piste d’athlétisme. Les tribunes devraient par exemple être plus verticales que celles du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Il n’y aura pas non plus de sièges au ras de la pelouse, pour assurer une meilleure visibilité. « Les fauteuils seront ultraconfortables », clame la FFR.
WWA a écrit:Qu'est ce qui vous permet de dire que le projet est revu à la baisse? Pour l'instant, l'heure est à la présentation de la maquette....
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