Baskra a écrit:Bonne affluence, pour une fois.
super affluence oui meme en ligue 1 contre l'om on faisait pas mieux.
d'apres le site de la ligue il y avait 16814 spectateurs c'est tres encourageant
Baskra a écrit:Bonne affluence, pour une fois.
olive 72 a écrit:Baskra a écrit:Bonne affluence, pour une fois.
super affluence oui meme en ligue 1 contre l'om on faisait pas mieux.
d'apres le site de la ligue il y avait 16814 spectateurs c'est tres encourageant
olive 72 a écrit:tout le monde fait du surplace sauf dijon qui revient tres fort ,il va peut etre faloir qu'il pense a leur stade d'ailleur ! ! !
Wizz a écrit:Superbe tiffo
La montée de dijon serait une bonne chose pour un coup de pouce de leur projet stade
Alex a écrit:Wizz a écrit:Superbe tiffo
La montée de dijon serait une bonne chose pour un coup de pouce de leur projet stade
Oui mais bon il - y aura -t- il un budget suffisant ? Il y aura -t- il une réelle équipe potable ? Il y a encore beaucoup de flou sur le projet dijonnais qui n'a jamais connu la Ligue 1. Etant de la région, moi aussi je serais très heureux de les voir à l'élite mais si c'est potable...
Ca serait possible d'avoir une photo du parcage visiteur de ce MMArena svp ? lors du dernier match face à Angers par exemple, où il était pas mal rempli semble-t-il.
La MMArena aux couleurs du Tours FC ?
Contrairement à la MMArena (notre photo), le stade de la Vallée du Cher de Tours ne répond pas aux exigences de la Ligue en matière de capacité, de sécurité et d'accueil des médias.
Archives Dominique Breugnot
Ligue 2. Le président du Tours FC, Frédéric Sebag, a demandé à son homologue manceau l'autorisation pour évoluer la saison prochaine dans la nouvelle enceinte sarthoise, en cas de montée en Ligue 1.
Tous les ans, les clubs de Ligue 2 qui accèdent à la Ligue 1 connaissent le même problème : comment mettre son stade aux normes, et à temps ?
Le président de Tours, Frédéric Sebag, s'est déjà posé la question. Le stade de la Vallée du Cher n'étant pas aux normes (le club d'Indre-et-Loire profite déjà d'une dérogation pour jouer en Ligue 2 dans un stade d'une capacité inférieure à 17 000 places), il a contacté Le Mans FC pour demander d'évoluer dans la MMArena en cas d'accession. Un stade distant de 90 km et bâti pour la Ligue 1. « Il a appelé le président Henri Legarda il y trois semaines », dit-on au club.
Des travaux sont bien prévus à Tours. Mais ils ne devraient pas être terminés d'ici la reprise du championnat, en août prochain. On parle plutôt de décembre. « Les travaux prennent toujours du temps, craint Frédéric Sebag. En faisant cette demande, je prends les précautions nécessaires. La Ligue a des exigences, ce qui est normal. Je ne veux pas être recalé à cause de ça. »
La décision d'accueillir ou non Tours ne revient pas au club manceau mais à « Le Mans stadium ». Il s'agit de la société concessionnaire, détenu à 100 % par le groupe Vinci (à terme, ce sera 50-50 avec Le Mans FC). Frédéric Sebag croit en ses chances : « Ils ont une infrastructure à faire tourner. Avoir une deuxième équipe n'est pas négligeable. »
« Il y a trop de si »
« Le Mans stadium » va devoir estimer s'il est possible d'accueillir un deuxième club. « Ils devront voir si les calendriers sont comptatibles », explique Le Mans FC. La MMArena n'a pas seulement vocation à recevoir des matches de football. Des concerts peuvent notamment être organisés. Le stade est aussi au coeur du pôle d'excellence sportive, avec le circuit ou la salle Antarès, qui accueille les matches du MSB ou des spectacles. Le calendrier paraît déjà bien fourni pour accueillir un autre club.
Aucune décision ne devrait être prise avant la fin de la saison. « Il y a trop de si », indique-t-on du côté du Mans FC. Tours montera-t-il vraiment en Ligue 1 ? Et Le Mans ? Et si les deux clubs accédaient parmi l'élite ? Il y a trop de possibilités pour qu'une réponse définitive soit donnée dès aujourd'hui.
Le président Sebag va devoir patienter. Il est en tout cas dans son rôle en anticipant d'éventuels retards. « Ce n'est en aucun cas pour mettre la pression sur les élus, raconte-t-il. Ce n'est pas un jeu auquel il faut se prêter. Je me dois juste de prévoir. Point. »
Les deux saisons précédentes, Boulogne-sur-Mer et Arles-Avignon étaient bien parvenus à mettre aux normes leurs stades. Istres, par contre, avait dû se reporter sur Nîmes en 2004. Avant de jouer seulement quatre rencontres dans son nouveau stade Parsemain. Et de retourner en L2.
Christophe RICHARD.
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