trotxki a écrit:Pfffff Pourtant j'aime vraiment bien tes photos quand tu te déplaces avec Lens! Mais qu'est ce qu'il faut faire pour que tu lises et comprennes les propos des autres?
Si quelqu'un à la réponse d'ailleurs, je suis preneur aussi.
trotxki a écrit:Pfffff Pourtant j'aime vraiment bien tes photos quand tu te déplaces avec Lens! Mais qu'est ce qu'il faut faire pour que tu lises et comprennes les propos des autres?
Bordeaux: Muse sera en concert le 16 juillet au stade Matmut
La tournée mondiale du groupe britannique Muse va passer par Bordeaux, et on connaît depuis ce lundi la date du concert, ce sera le 16 juillet. La tournée Simulation Theory, du nom de leur nouvel album qui sort le 9 novembre, débutera le 22 février à Houston, au Texas, puis au Canada et en Europe. Le trio donnera trois concerts en France, dont un au stade Matmut Atlantique. Les billets pour ce concert seront mis en vente le vendredi 16 novembre à 10 heures, mais il est possible de s’inscrire à une alerte sur le site du stade dès ce lundi.
Depuis sa création en 1994, Muse a sorti sept albums studio, vendus à plus de 20 millions d’exemplaires dans le monde.
Sud Ouest 23/11/18
Maintenant que la vente des Girondins de Bordeaux est bouclée, tous les regards se tournent vers SBA (Stade Bordeaux Atlantique), l’exploitant du stade, propriété des groupes Vinci et Fayat, dont le déficit est trois fois supérieur à ce qui était inscrit dans le business plan.
Jeudi après-midi, c’est une première, la commission de contrôle de Bordeaux Métropole (issue de la commission des finances) auditionnait les dirigeants de l’exploitant du Matmut Atlantique. Une nouvelle démarche qui vise à faire un suivi annuel avec les grands délégataires de la collectivité. On trouve Keolis, Veolia et donc SBA, qui est engagé contractuellement à verser 4,5 millions d’euros par an à Bordeaux Métropole.
Compte tenu des écarts entre les résultats réels et ceux prévus, les élus de Bordeaux Métropole souhaitaient pouvoir échanger avec SBA sur la question. Pour remettre les choses à leur place, il faut préciser que dans le business plan de l’exploitant, le premier exercice positif était programmé à l’horizon 2025. Or, le déficit sur les trois premières années d’exploitation est trois fois supérieur à ce qui était prévu.
En 2015, première année d’exercice, le déficit estimé était de 1,01 million d’euros. Il a atteint 3,6 millions. Déficit prévu en 2016, 1,3 million, résultat réel, moins 3,2 millions d’euros. En 2017, SBA affichait 3,3 millions de déficit contre 1,1 million prévu. Le résultat net cumulé à fin 2017 est de moins 10,5 millions d’euros, soit un écart défavorable de 7,02 millions avec le résultat net du modèle initial.
L’explication principale est à rechercher du côté du contrat de « naming » de l’enceinte. Il était prévu qu’il rapporte 4 millions d’euros par an sur une décennie. Matmut a emporté l’affaire pour moitié moins, soit 2 millions d’euros par an. Forts de ce passif, les élus souhaitaient avoir une vision réévaluée des résultats attendus pour l’exercice 2018, qui prévoyait initialement 1,02 million d’euros de déficit. Ainsi qu’une projection sur l’année 2019.
Le contenu des échanges est placé sous le sceau de la confidentialité. Selon nos informations, l’échange s’est révélé constructif. Si quelques pistes ont été esquissées pour redresser la barre, le modèle financier de 2015 a du plomb dans l’aile. Et l’amélioration des résultats, et notamment un retour à l’équilibre (à l’horizon 2020), pourrait prendre plus de temps que prévu.
« Trois millions d’euros de trou dans la caisse, chaque année, ça ne fait pas un modèle économique. Il n’est pas dans la culture d’un Fayat ou d’un Vinci de perdre de l’argent ad vitam », explique un proche du dossier. Dans les dîners en ville, bruissent de folles rumeurs : volonté de désengagement, d’ouverture du capital… L’équation n’est pas simple. Perdre des sommes à six zéros, exercice après exercice, transformer les trous en crevasses, n’est pas viable à moyen terme. Mais il faut également prendre en compte un autre facteur. Voir Vinci ou Fayat, ce dernier étant déjà empêtré dans le contentieux du pont Simone-Veil, jeter l’éponge serait dévastateur en termes d’image.
Joe Da Grosa, qui tient l’un des premiers rôles depuis qu’il est à la tête des Girondins, a fait part, à plusieurs reprises, de son intérêt pour le stade. Il doit prochainement rencontrer les dirigeants de SBA. Tous les scénarios sont sur la table : de l’entente cordiale à l’ouverture de capital. Mais l’Américain montera-t-il sur le bateau SBA avec une voie d’eau ? « Après ses déclarations, on attend que Joe Da Grosa passe à l’action. »
Il y a quelques mois, SBA s’était tourné vers la Métropole pour renégocier les termes du contrat. Il leur a été opposé une fin de non-recevoir ferme. Il est vrai que les contrats liés au stade sont à l’avantage de la collectivité, fait rare voire exceptionnel salué par la Chambre régionale des comptes. La porte est donc fermée pour quelque négociation que ce soit, notamment les 4,5 millions de loyer annuel. Mais pas définitivement. De fait, il est prévu une clause de revoyure au terme des cinq premières années d’exercice. On ne pourra pas remettre le contrat sur la table, mais des ajustements sont possibles.
Si rien ne bouge d’ici là , 2020 sera une année clé pour l’exploitant du Matmut. Il incombera à la nouvelle majorité métropolitaine, issue des prochaines municipales, de conduire les négociations, qui seront à n’en pas douter extrêmement serrées.
leo59 a écrit:J’espère surtout qu’ils mettront un peu de couleurs dans ce stade
dilem93 a écrit:Enfin.
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