OL : « Nous discutons avec Groupama pour prolonger l’accord de naming du stade » (Cyrille Groll)Paris - Publié le lundi 17 février 2020 à 9 h 00 - Entretien n° 175273« Actuellement, nous discutons avec Groupama pour prolonger l’accord de naming du stade. Nous échangeons également avec d’autres acteurs qui nous ont fait part de leur intérêt. Mais on ne changera pas pour changer, nous irons vers un autre acteur si des raisons de durée ou de montant le justifient. Le premier contrat de Groupama était de trois ans, ce n’est pas assez désormais. Nous souhaitons idéalement avancer sur des contrats de plus long terme », déclare Cyrille Groll, directeur du développement commercial de l’Olympique Lyonnais, à News Tank, le 17/02/2020.
Groupama Rhône-Alpes Auvergne, filiale régionale du groupe français d’assurances et banque, avait acquis, auprès d’OL Groupe, les droits de naming du Groupama Stadium (57 206 places) pour une période de trois saisons (2017-2020), le 12/07/2017.
« À partir de la saison 2020-21, nous aurons un maillot beaucoup plus épuré. Une des conditions sine qua non d’Emirates est de s’afficher en exclusivité sur la face avant des maillots de l’équipe masculine. Emirates s’affichera donc seul sur notre maillot, sans les sponsors pocket actuels (Groupama et MDA) », explique Cyrille Groll à propos d’Emirates (compagnie aérienne), le nouveau partenaire majeur et sponsor maillot principal de l’OL pour 2020-2025.
« Nous souhaitons rediscuter avec l’ensemble des marques et travailler sereinement sur des packages alternatifs. L’idée n’est pas de balayer d’une main l’ensemble des partenaires fidèles avec qui nous travaillons au quotidien, dont certains depuis de nombreuses saisons. Il est important pour nous de ne pas nous détacher de l’ensemble de nos partenaires locaux, régionaux qui constituent une base forte pour l’OL », indique Cyrille Groll, qui répond aux questions de News Tank.
« Le projet OL est unique dans le milieu du football » (C. Groll, OL)Pouvez-vous nous donner les contours du nouveau partenariat entre l’Olympique Lyonnais et Emirates ?« Le partenariat avec Emirates représente le plus gros contrat de sponsoring jamais signé par le club jusqu’à présent. Il s’agit d’un accord sur le long terme (cinq saisons, 2020-2025), au-delà de la moyenne des contrats que l’on passe généralement. C’est le début d’une longue histoire.
Nos prises de contact avec Emirates ont débuté il y a un an, après que Paris Saint-Germain (Ligue 1 Conforama) a communiqué sur son nouveau contrat avec Accor, soit la non-reconduction de leur partenariat avec la marque émiratie. Nous n’avons pas fait d’appel d’offres, nous avons discuté de gré à gré avec Emirates. Nous leur avons demandé s’ils avaient toujours des projets pour le marché français. C’était le cas. Ainsi, avec l’agence Infront, nous avons débuté les négociations.
Fly Emirates x OL (visuel maillot non contractuel) - © D.R.Que signifie votre rapprochement avec Emirates ?Les grandes marques internationales comme Emirates travaillent avec les meilleurs (Real Madrid CF, AC Milan, Arsenal FC…), les clubs les mieux structurés, ceux basés dans des bassins géographiques stimulant qui permettent à la marque de se doter d’une visibilité forte.
Le projet à l'Olympique Lyonnais est unique dans le milieu du football. Je ne suis pas sûr qu’il en existe de semblables. Certes, il existe des clubs multisports qui réussissent. Mais notre projet ”Full Entertainment” qui comprend un club de football, un partenariat avec LDLC ASVEL, une équipe eSport avec LDLC-OL, un stade, un projet d’arena ou encore un nouveau festival de musique, est très engageant.
Partenariat Emirates - OL - © OLLyon est par ailleurs une ville touristique très attractive pour un groupe comme Emirates. C’est une métropole qui se développe dans de nombreux secteurs (gastronomie, technologie…). L’aéroport de Lyon-Saint Exupéry qui se trouve à proximité du stade, est reconnu pour sa modernité technologique (plusieurs fois primée). Le potentiel de développement est fort à Lyon. Tous ces assets sont attrayants pour une marque.
Notre business model à l’OL est singulier, fort et solide. Il y a quelques années, les acteurs du marché avaient du mal à croire à notre modèle. Désormais, avec notre développement et notre déploiement, les annonceurs nous font non seulement confiance, mais sont également prêts à nous accompagner dans notre projet.
Tout le projet du club (LDLC ASVEL, LDLC OL, OL Reign ...) est pris en compte par Emirates dans leur décision de nous accompagner
Est-il possible que votre partenariat avec Emirates soit décliné sur les autres équipes en lien avec l’OL (OL féminin, OL Reign FC, LDLC ASVEL, Team LDLC OL) ?Nous n’en sommes pas encore là pour le moment. Nous avons encore beaucoup de choses à explorer avec Emirates. Tout le projet de l’OL est pris en compte dans leur décision de nous accompagner. Nous n’avons pas été jusqu’à déployer les dispositifs sponsoring / marketing sur l’ensemble de nos assets. Cela pourra venir au fil du temps, mais il faudra que l’on aille beaucoup plus loin dans notre relation. C’est un objectif pour nous, en tant que club, mais nous voulons procéder étape par étape, choix d’investissement par choix d’investissement.
La venue de « Fly Emirates » sur vos maillots va-t-elle contraindre certains de vos sponsors (épaule, manche, pocket…) à ne plus s’afficher sur vos tenues ?À partir de la saison 2020-21, nous aurons un maillot beaucoup plus épuré. Une des conditions sine qua non d’Emirates est de s’afficher en exclusivité sur la face avant des maillots de l’équipe masculine. Emirates s’affichera donc seul sur notre maillot, sans les sponsors pocket actuels (Groupama et MDA). À l’OL, nous avions adopté une stratégie d’aligner les différents contrats, à savoir ceux touchant à la Coupe d’Europe et au Championnat de France, pour pouvoir se laisser la porte ouverte. Cela a été une stratégie intéressante et payante : cela signifie afficher entre cinq et sept partenaires sur nos maillots en une saison.
Nous entamons donc un gros travail de renégociation avec les marques pour réaffiner leur partenariat.
Fly Emirates x OL (visuel non officiel) - © D.R.Cela peut-il poser problème aux marques concernées par ce changement de visibilité ?Nous souhaitons rediscuter avec l’ensemble des marques et travailler sereinement sur des packages alternatifs. L’idée n’est pas de balayer d’une main l’ensemble des partenaires fidèles avec qui nous travaillons au quotidien, dont certains depuis de nombreuses saisons.
Il est important d’avoir de grandes marques internationales premium, qui nous tirent vers le haut. Cela nous aide en termes de positionnement. Mais il est important pour nous de ne pas nous détacher de l’ensemble de nos partenaires locaux, régionaux qui constituent une base forte pour l’OL. Il faut garder un lien fort avec tous ces supporters du club depuis tant d’années. Nous retravaillons donc l’ensemble de notre dispositif pour avoir un programme de partenariat dans lequel tout le monde s’y retrouve.
Le fait qu’Emirates ait été un partenaire historique du Paris Saint-Germain a-t-il influencé votre décision ?Emirates, sponsor maillot principal du PSG de 2006-07 à 2018-19 - © http://www.sofoot.comPas du tout. Sur un plan sportif, nous sommes en concurrence avec le Paris SG. Côté business, nous avons chacun nos atouts, notre politique. Nous n’avons aucun problème à discuter avec un ancien partenaire du Paris Saint-Germain. Par ailleurs, nous avons déjà des exemples de partenaires communs : Orange ou encore Deliveroo, entre autres, sont partenaires des deux clubs. Il est normal que des marques veuillent s’associer à deux des clubs les plus prestigieux de France.
Comment négociez-vous vos contrats de sponsoring entre l’équipe masculine et l’équipe féminine de l’OL ?Jusqu’à présent, on séparait vraiment les deux blocs sponsoring équipe féminine / équipe masculine. Nous voulions éviter d’intégrer des partenariats avec l’équipe féminine qui soient sous exploités, noyés dans un partenariat général. Pour éviter ces problématiques-là, nous avons séparé les deux programmes de partenariats. Nous nous concentrions sur les marques qui voulaient vraiment activer leur partenariat avec l’équipe féminine. Il était important de ne pas avoir de sponsors inactifs avec notre équipe féminine. C’est une tendance qui se confirme par ailleurs, de plus en plus de marques font le choix de venir sur l’équipe féminine.
En revanche, cela ne nous empêche pas d’avoir un partenaire sur les deux équipes, comme c’est le cas avec adidas qui est très impliqué sur les deux équipes ou encore Hyundai qui est partenaire principal chez les hommes et fournisseur officiel chez les femmes.
Que va-t-il advenir de Hyundai, suite à la fin de son partenariat avec l’équipe masculine ?Hyundai et l’OL ont noué un partenariat fort pendant plus de 10 ans. Ils voulaient continuer avec l’équipe masculine. Nous le voulions aussi au départ. Mais une fois que les pistes avec Emirates se sont concrétisées, nous avons dû mettre en balance ce nouvel acteur qui voulait un partenariat face avant seul sur nos maillots, avec un investissement plus important. Même si nous donnions une priorité à Hyundai, la marque ne pouvait pas suivre de ce côté-là.
En revanche, nous sommes toujours en discussion avec Hyundai pour des packages alternatifs importants, Peut-être que nous nous dirigeons vers un partenariat plus large, multi assets. Hyundai est un partenaire très dynamique, qui active beaucoup ses partenariats. C’est primordial pour nous et c’est pour cela que notre entente et notre collaboration fonctionnent si bien. D’où notre envie de continuer notre relation.
Groupama Stadium - © D.ROù en sont les discussions au sujet du naming du stade, alors que le contrat avec Groupama s’achève au 30/06/2020 ?Les droits de naming du centre d'entrainement sont compris dans la package namer stade
Actuellement, nous discutons avec Groupama pour prolonger l’accord de naming du stade. Nous échangeons également avec d’autres acteurs qui nous ont fait part de leur intérêt. Mais on ne changera pas pour changer, nous irons vers un autre acteur si des raisons de durée ou de montant le justifient.
Le premier contrat de Groupama était de trois ans, ce n’est pas assez désormais. Nous souhaitons idéalement avancer sur des contrats de plus long terme.
Quid des droits de dénomination de l’OL Academy et du centre d’entraînement ?Groupama Stadium - © OLPour l’OL Academy, il est fort probable que nous détachions le naming de l’accord avec le namer stade. L’OL Academy, qui ne faisait pas partie du périmètre initial du contrat, est entrée plus tard dans les discussions. Mais les droits de dénomination du centre d’entraînement qui est situé sur le même site que le stade à Décines sont compris dans le package.
Sur ces dossiers, nous avons l’avantage d’être propriétaires de notre stade. Nous pouvons donc proposer des accords sur-mesure en fonction des besoins, des objectifs, des montants ou des durées qui découlent des négociations.
Emirates est-il dans la discussion pour le naming du stade ?Le dossier a été évoqué. Mais l’accord qui a déjà été annoncé ne concerne que le sponsoring le maillot. Le dossier naming est à part.
Beaucoup de grands clubs européens ont noué des partenariats avec des sociétés spécialisées dans les cryptodevises / blockchain. L’OL est-il intéressé ?Intéressé, oui certainement. Nous sommes très vigilants sur le sujet. Ce marché n’est pas encore bien structuré et sécurisé. L’Olympique Lyonnais est un club coté en bourse et avoir des cryptomonnaies émises par le club, avec des cours variables, n’est pas sans poser de problèmes avec notre propre de cours de bourse, même si cela est séparé. Beaucoup d’éléments restent à travailler. Des programmes de fidélisation sont associés à ces projets : c’est à mon sens l’axe le plus intéressant à développer. Sur les partenariats qui nous ont été présentés jusqu’à présent, les contours et les bénéfices pour le club sont encore parfois troubles. Je crois plus en des projets de social currency que de cryptomonnaie à court terme !
L’OL annonce le rachat du Reign FC le 19/12/2019 - © OLOL Groupe a fait l’acquisition du Reign FC, une franchise américaine. Peut-on s’attendre à la signature de sponsors communs avec l’OL (masculin ou féminin) dans les prochaines semaines ?Non seulement c’est possible, mais c’est clairement dans notre stratégie. Nous privilégions cette approche. Des marques qui veulent se développer aux États-Unis, mais également des marques américaines qui cherchent à s’implanter en France nous approchent dans cette optique.
Mastercard, partenaire majeur de l’équipe féminine de l’OL, nous a par exemple demandé de les rencontrer en priorité pour discuter de ce nouvel asset du club qu’est l’OL Reign. L’idée est d’aller plus loin que le partenariat OL, qui était un bon point de départ mais qui pourrait s’étendre à quelque chose de plus grand avec l’équipe américaine.
Vous espérez bénéficier de revenus sponsoring s’élevant à hauteur de 47-50 M€ d’ici 2023-24. Est-ce possible si vous ne disputez pas la Ligue des champions lors de chacune des prochaines saisons ?La Ligue des champions n’est pas un bonus
La Ligue des champions n’est pas un bonus. Évidemment, avec les retombées de cette compétition, nous sommes plus forts et mieux armés pour aller chercher des partenaires. Nous avons besoin des compétitions européennes pour être visibles. C’est ce qui fait la force du club, ce qui nous permet de toucher de plus en plus de partenaires internationaux. L’OL a été européen lors des 23 dernières saisons. Mais les accidents sont possibles : on peut, sur une saison, ne pas disputer la Ligue des Champions. Les top clubs anglais ne la font pas toujours, mais cela ne les empêche pas de continuer à nouer des partenariats prestigieux. Cependant, notre objectif à l’OL est forcément de disputer la Ligue des Champions chaque saison.
Comment se matérialise votre collaboration avec l’équipe eSport Team LDLC, désormais nommée LDLC OL ?Partenariat LDLC - OL - © OLL’idée est de pouvoir créer des synergies dans l’eSport en accompagnant LDLC OL dans son développement. L’organisation en place ne bouge pas, c’est toujours elle qui gère l’équipe eSport. L’OL vient en renfort : nous travaillons ensemble sur des démarches de prospections. Nous aidons l’équipe à aller chercher de nouveaux sponsors, mais nous mettons également Team LDLC en relation avec des partenaires de l’OL que nous avons sondés sur l’eSport ou qui, tout simplement, ont manifesté un intérêt pour la discipline.
Vous avez apposé le logo de l’OL sur le maillot du LDLC ASVEL. Peut-on s’attendre, dans un moyen terme, à ne plus parler du LDLC ASVEL, mais de l’OL Basket ?Le logo de l’OL sur les maillots du LDLC ASVEL - © D.R.Ce n’est pas d’actualité aujourd’hui, mais ce n’est pas impossible à terme. Nous avons pris des parts dans l’ASVEL (31,67 %). Tony Parker, le président de l’ASVEL, va intégrer quant à lui le conseil d’administration d’OL Groupe. Il est donc clair que nous cherchons à unir nos forces, à créer une véritable synergie entre deux puissants acteurs de la région.
Certes, le logo de l’OL est désormais visible sur le maillot de l’ASVEL. C’est un signe fort, évidemment. C’est un moyen de communiquer sur notre rapprochement. On peut potentiellement imaginer une collaboration encore plus forte dans un avenir proche…
Vous disposez donc d’une pluralité d’assets pour convaincre les marques ?Avec ce développement multiple -foot masculin, féminin, en France, aux États-Unis, basketball, eSport- nous avons toute une palette de produits qui touchent tous les secteurs d’activités et toutes les cibles.
Nous pouvons proposer aux marques de véritables partenariats sur-mesure
Notre activité ne se limite pas à ça : nous organisons un festival de musique, le Felyn Stadium Festival, dont la première édition se tiendra au Groupama Stadium les 19 et 20/06/2020 et qui accueillera notamment les Red Hot Chili Peppers. Nous avons également un axe fort de développement à l’international avec des académies en Asie, au Maroc, au Sénégal et au Brésil avec l’Académie Pele…
Ainsi, lorsque nous discutons avec un prospect, nous disposons d’une palette large et diversifiée de produits. Nous pouvons ainsi proposer à des marques de véritables partenariats sur-mesure qui vont être en adéquation avec leurs besoins.
Nous jouons au football depuis 70 ans, et nous essayons désormais de structurer un projet autour du Full Entertainment, inédit en Europe. La future arena va nous permettre de développer les secteurs de la musique et du spectacle, du sport avec le LDLC ASVEL, mais aussi de l’eSport. Pourquoi pas du tennis également, puisque nous allons accueillir sur le site l’académie de Jo-Wilfried Tsonga, la « All In Academy »… Nous allons avoir une multitude de projets et d’offres inédites à proposer.
Fiche n° 2771, créée le 07/03/14 à 14:37 - MàJ le 20/09/19 à 10:22
Cyrille Groll
Olympique Lyonnais
© D.R.Activité : club professionnel français (sections masculine et féminine)
Partenaires premium :
• adidas (équipementier), 2010-2025
• Hyundai (automobile) : sponsor maillot principal, jusqu’en 2019-20
• Veolia (énergie) : sponsor maillot principal en Ligue des champions
• Fly Emirates (compagnie aérienne) : sponsor maillot principal pour les rencontres de Ligue 1 Conforama et de coupes d’europe, sponsor maillot d’entrainement, 2020-2025
Partenaires majeurs, équipe masculine :
• alila (promoteur immobilier) : sponsor dos de maillot en Ligue 1, 2016-2018, sponsor manche (2017-18)
• Groupama Rhône-Alpes Auvergne (assurances) : sponsor pocket droit
• Adéquat (services RH) : sponsor manche en Ligue 1, 2018-2020
• MDA (distribution) : sponsor pocket gauche
• Deliveroo (livraison de repas à domicile) : sponsor haut du dos de maillot, 2019-2022
Partenaires officiels, équipe masculine :
• FDJ-ParionsSports (loterie et paris sportifs) : 2018-2022
• Intermarché (distribution)
• Teddy Smith (prêt-à-porter) : sponsor short face avant, 2019-2021
• Orange (télécommunications)
Fournisseurs officiels, équipe masculine :
• Chapoutier (vins)
• Coca-Cola (boissons), partenaire fondateur Parc OL
• Pernod Ricard (vins et spiritueux)
• Descours & Cabaud (distribution professionnelle)
• McDonald’s (restauration rapide) : 2015-2021
• Groupe SLG (mode) / Moreteau (habilleur)
• Caisse d'Épargne Rhône Alpes (banque) : depuis 2012-13, jusqu’en 2022-23
• Radio Espace (radio)
• EA Sport (éditeur de jeux vidéo)
Partenaire régional :
• Atlantic (chauffage)
Partenaires premium, équipe féminine :
• adidas (équipementier)
• April (assurances) : sponsor maillot principal en championnat, depuis 2011, jusqu’en 2019-20
• Sword (consulting et IT) : sponsor maillot principal en Ligue des Champions et sponsor épaule 2017-2020
Partenaires majeurs, équipe féminine :
• Groupe em2c (promoteur et constructeur immobilier)
• Vicat (matériaux de construction) : sponsor dos de maillot
• Keolis (transport public)
• Leroy Merlin (magasins de bricolage) : sponsor pocket gauche
• Job Station (agence d’intérim)
• Stal Participations (travaux publics) : depuis 2019, partenaire de l’OL depuis 20 ans
• Mastercard (solutions de paiement) : 2019-2022
• Deliveroo (livraison de repas à domicile) : sponsor manche, 2019-2022
Partenaires officiels, équipe féminine :
• Cummins (moteurs industriels)
• McDonald’s (restauration rapide) : 2015-2021
• Crédit Agricole Centre Est (banque) : jusqu’en 2021-22
• MFM Radio (radio)
• Hyundai (automobile), 2018-2020
• Saint-Jean (pâtes fraîches)
• Setreal (ingénierie)
• Herbalife (nutrition), pour 2019-20
Équipementier de l’OL Academy :
• adidas
Partenaires majeurs Groupama OL Academy (centre de formation) :
• Groupama Rhône-Alpes Auvergne (assurances) : nameur
• Clairefontaine (papeterie) : sponsor maillot principal
• McDonald’s (restauration rapide) : 2015-2021
• MDA (distribution)
• alila (promoteur immobilier)
Partenaire officiel Groupama OL Academy :
• Groupe IGS (formation)
Groupama OL Training Center (centre d’entraînement) :
• Groupama Rhône-Alpes Auvergne (assurances) : nameur
Nameur stade :
• Groupama Rhône-Alpes Auvergne (assurances) : Groupama Stadium, 2017-2020, entre 5 et 7 M€ par saison
Partenaires fondateurs stade :
• Coca-Cola (boissons)
• Onet (nettoyage)
• Orange (télécommunications)
• Dalkia (énergie)
Partenaires technologiques stade :
• CNR (énergie)
• Microsoft (IT)
• Parions Sport (offre de paris sportifs de FDJ)
• Sword (consulting et IT)
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