Axelferis a écrit:Mais pourquoi ne pas organiser un "pool" d'investisseurs qui ont des réseaux pour trouver le nom de ce stade plutôt que d'attendre le "porte à porte" que fait l'adjoint du maire?!
Vu comment c'est parti je parie sur un an d'exploitation sans naming ...
Comme s'il n'y avait qu'en france pfff! L'asie et le qatar regorge de sources de financement et on vient me parler d'entreprise locales !
Enfin l'essentiel c'est qu'on y aille dans le stade et qu'on passe de bons moments
(mais bon j'aimerais que le naming fasse baisser la facture car on va y goûter sinon dans nos fiches de taxes locales pendant 30 ans )
Tu sais, il n'y a pas besoin d'aller chercher en Asie et au Qatar.
Il y a en France des sociétés qui font d'énormes profits à côté desquels les 3 millions du naming ressemblent à un pourboire.
Mais elles ne sont pas adns le NOrd, à part Auchan qui est la seule à avoir la surface financière adequat (mais c'est nul come nom pour un stade, à mon sens).
En fait, y'en a aussi une autre, pas du Nord à proprement parler, mais bien implantée par ici quand même : ATOS (ex ATOS ORIGIN) spécialisée dans la fourniture de services informatiques (un cadors mondial dans le genre, en fait).
Société peu connue du grand public et qui gagnerait beaucoup en exposition avec le naming.
Financièrement, c'est juste limite acceptable 5 milliards de CA et 120 millions de bénéfs pour 2010.
Faut voir quand même qu'à moins de 100 millions de bénéfs par an, c'est presque impossible à envisager pour une société.
Et ATOS ARENA, ça peut le faire.
Mais alors PARTOUCHE
Une petite recherche Google, ça donne environ 480 millions de CA par an et ... 4,1 millions de bénéfs pour le 1er semestre 2011. Soit environ 8 millions par an de bénéfs.
Et le groupe PARTOUCHE se pose la question de la rentabilité pour lui d'une opération de naming qui lui coûterait 40 % de ses bénefs annuels ?
Comme c'est surprenant.
Des possibilités, y'en a, et ce malgré la crise, qui aura bon dos.
En plus, faut voir qu'on passe les premiers, avant Lyon, NIce et Bordeaux, autres candidats potentiels à un naming ambitieux (Lyon surtout, les deux autres à un degré moindre). Ce serait bien d'en profiter.
Et vu le si petit nombre de possibilité de naming, on devrait avoir l'embarras du choix.
Or là , on a l'impression que de Saintignon, il a pas le choix, il a que l'embarras (comme disait l'autre)