IAMX a écrit:Chtinico a écrit:Si d'autres personnes, chez d'autres opérateurs peuvent le confirmer.
Oui, chez Orange, ça passe enfin.
Sinon, d'autres infos, dimanche j'ai encore vu de l'eau qui tombait côté ouest derrière les bancs de touche.
et, bonne nouvelle :
Des baies vitrées pour le Grand Stade de Villeneuve d'Ascq -
Est-ce la fin des courants d'air dans certaines parties du Stade Pierre-Mauroy ? Des spectateurs avaient remarqué une atmosphère un peu fraiche, même lorsque le toit était fermé. La faute aux vomitoires et autres coursives, qui laissaient le vent s'engouffrer par couloirs. Les accès seront fermés par des vitres. "Ce sera opérationnel pour le concert de Depeche Mode, le 17 novembre", promet Olivier Baudry, le nouveau directeur du stade.
Excellente nouvelle notamment parce que ça veut dire qu'il y a un processus d'amélioration toujours en cours
L'ampleur des changements dépendra aussi certainement de la réussite de l'enceinte, dans un cercle vertueux.
Le LOSC doit aussi se fondre dans cette démarche pour son utilisation de l'enceinte.
Ca coincide peut etre aussi avec l'arrivée d'un vrai professionnel du secteur avec la nomination de Olivier Baudry qui semble plus à même de développer le projet.
http://www.lavoixdunord.fr/region/olivier-baudry-nouveau-directeur-du-stade-pierre-mauroy-ia28b50417n1493833 a écrit:
Olivier Baudry, nouveau directeur du Stade Pierre-Mauroy : « Notre métier, c’est un peu le même que celui des grands forains »
Il est arrivé en toute discrétion le 4 juillet, juste avant le concert de Rihanna. Olivier Baudry, 46 ans, remplace Gilles Malavallon avec une feuille de route : faire rayonner le grand équipement métropolitain. Cet ancien dirigeant du Stade de France va mettre son carnet d’adresses au service de la programmation. Son objectif : dix à douze événements par an, entre les concerts et les matchs hors LOSC. Une « pression positive » pour ce businessman, amateur de sport et de musique.
Ne lui demandez pas si le nom « stade Pierre-Mauroy » lui plaît. Si le « Grand Stade Lille métropole », son ancienne dénomination était plus « bankable » auprès des producteurs internationaux. Pour Olivier Baudry, c’est un non débat. « Il ne nous appartient pas d’avoir un avis sur ce qui a été voté par la communauté urbaine. Mais c’est plus important de savoir que, dans le milieu artistique, tous les feux sont au vert : on sait qu’on peut organiser de grands spectacles à Lille et que le public est formidable ». Dans l’entourage des artistes, on craignait en effet que la mise en place ne soit plus compliquée au Grand Stade qu’ailleurs.
Côté business, le lancement réussi de l’Arena vaut toutes les plaquettes de présentation. Cette fameuse boîte à spectacle, « unique en Europe », insiste son patron, a servi d’écrin aux diamants de Rihanna. Une star d’envergure internationale qui a susurré à maintes reprises « Bonjour Lille » avec son accent et sa larme à l’œil.
Côté technique, les quelque 50 agents d’Elisa (filiale d’Eiffage qui gère le stade) ont permis aux 200 de la production de Rihanna de plier bagage en trois heures et demie après le dernier rappel. Efficacité totale. « Notre métier, c’est un peu comme celui des grands forains. C’est de faire en sorte que la production puisse monter et démonter la scène le plus rapidement possible », avance Olivier Baudry.
On n’aurait pu rêver meilleur scénario pour lancer ce nouvel équipement. Car, Olivier Baudry en est sûr : l’Arena représente « le gros point fort du stade pour développer sa programmation ».
Ne cherchez pas non plus à savoir ce qui est en projet. Secret défense. L’annonce d’un concert, c’est la chasse gardée du producteur.
On apprend juste qu’Olivier Baudry prévoit « trois options concert pour mai et juin » et verrait d’un bon œil Indochine, qui s’offre déjà le Stade de France en juin, passer par Villeneuve-d’Ascq. « Nous serions heureux et fiers d’accueillir Indochine », avoue, sibyllin, le patron du stade Pierre-Mauroy.
Mais, outre les concerts, il travaille également à organiser des matchs « hors club résident ». Elisa et LMCU déposent ensemble leur candidature à l’organisation des deux demi-finales de rugby du Top 14, en mai. Réponse à la fin de l’année. Mais les Dogues ne sont-ils pas un locataire trop encombrant pour l’agenda ?
« Notre métier est cadencé par le LOSC, c’est vrai, reconnaît celui qui a bossé treize ans au Stade de France, sans équipe à demeure. Mais on n’a pas refusé de concerts à cause du foot : entre la trêve du championnat, Noël, juillet et août, on a largement la place pour organiser dix à douze événements ».
Oliver Baudry s’est laissé deux ans pour atteindre cet objectif. La fermeture du palais omnisport de Paris-Bercy (à partir de mars 2014), son concurrent « naturel », pourrait aider le stade Pierre-Mauroy à prendre toute sa place dans le paysage des grosses productions dans l’Hexagone. Même si, à partir de cette année, la compétition s’étoffe : « Le stade de Nice ouvre mi-septembre, le Vélodrome rénové de Marseille à l’été 2014, celui de Bordeaux peu après. Les organisateurs de spectacles seront en position de force pour négocier », prévoit Olivier Baudry. Il entend bien faire décoller ce « magnifique équipement ».
Qu’il s’appelle Pierre-Mauroy ne change rien. Il faut qu’il devienne un grand stade.